Au niveau de l’action elle-même, il a été décidé par le groupe scénographie que le cortège funéraire parte, cercueil en tête, fanfare juste derrière, suivi par les cinq groupes d’acteurs tenant respectivement les pancartes ’BIATOSS’, ’enseignants-chercheurs’, ’boursiers’, ’CAPES et IUFM’, et ’doctorants’. Ils seront suivis par les autres participants, habillés de noir et silencieux.
Trois tours de la place des Terreaux sont effectués derrière les croque-morts ; une musique funéraire est jouée pendant les tours.
A la fin du troisième tour, le cercueil et le cortège sont arrêtés par les bourreaux à l’endroit où se situe la personne qui récitera l’oraison funèbre. Arrêt de la musique. Le cercueil est placé en fond de « scène », suffisamment loin pour que les groupes qui vont se faire exécuter puissent se placer par la suite.
L’oraison funèbre débute.
Sont appelés un à un les cinq groupes qui sont menés par deux bourreaux masqués devant le cercueil pour se faire exécuter. Un petit texte est dit sur chacun des représentants.
Trois autres bourreaux sont placés en face et les tuent symboliquement par un geste à choisir. Un des bourreaux dira « En joue, feu », roulement de tambour, geste des bourreaux et le groupe tombe.
Le récitant attend la mort de chaque groupe avant de passer au suivant. Lorsque tous les groupes sont tués, la musique funèbre est jouée une dernière fois. La plateforme des revendications est récitée à la fin de l’intermède musical.
FIN
Compléments d'info à l'article
Proposer un complément d'info