Mercredi 1er mars, la ministre des familles, de l’enfance et des droits des femmes, Laurence Rossignol, a annoncé en fanfare le lancement du « premier plan de lutte contre les violences faites aux enfants ». Sauf que rien n’a été organisé en amont et les conséquences peuvent être catastrophiques pour les victimes et/ou leurs proches.
