Alexandre Gabriac, leader des jeunesses nationalistes, a été relaxé lundi 22 octobre par le tribunal correctionnel de Lyon.
Alors qu’il était accusé d’avoir proféré des menaces de mort à l’encontre d’un barman du Vieux-Lyon qui lui avait refusé l’accès à son bar, la présidente a estimé que « le dossier était vide ». Le procureur avait pourtant requis deux mois de prison ferme pour Gabriac, et deux mois avec sursis pour le camarade qui l’accompagnait.
Selon la présidente :
Les gestes de simulation d’égorgement et de tir [dénoncés par le barman] n’ont pas pu être confirmés par le visionnage du film.
Lyon Capitale
En effet, les images de la caméra de vidéo-surveillance n’ayant pu appuyer le témoignage de la victime, Gabriac est ressorti libre du tribunal.
À sa sortie, Gabriac a même précisé qu’il portait plainte pour « discriminations » contre le barman.
Affaire à suivre...
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