A LYON,
RASSEMBLEMENT le 13 janvier à 11h
devant la Banque de France,
14 rue de la République
Une étude commandée par le Réseau « Sortir du nucléaire » montre que,
investie dans des plans d’économies d’énergie et de développement des
énergies renouvelables, cette même somme permettrait de dégager au total (en
cumulant les économies ainsi réalisées et les productions) deux fois plus
d’électricité tout en créant quinze fois plus d’emplois.
Par ailleurs, la construction d’un premier EPR, en Finlande, a
officiellement 18 mois de retard, officieusement 2 ou 3 ans voire plus du
fait des déboires techniques qui s’accumulent. Faut-il vraiment renouveler
en France ce désastre industriel ?
Le 17 mars 2007, à un mois du premier tour de l’élection présidentielle, le
Réseau « Sortir du nucléaire » et le collectif Stop-EPR organisent 5
manifestations simultanées (à Rennes, Lille, Strasbourg, Lyon, et Toulouse),
pour marquer les esprits et obtenir des candidats l’annulation de la
construction de l’EPR à Flamanville en Normandie ou ailleurs. D’autre part,
dans le cadre d’une campagne nationale du collectif Stop EPR, les citoyens
sont invités à ne pas voter pour un candidat qui ne se prononcerait pas
clairement pour l’abandon de l’EPR.
Officiellement, l’EPR ne créera que 300 emplois pérennes.
L’investissement dans l’EPR ne créerait donc qu’un emploi pour 11 millions
d’euros !
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