Pour rappel, le squat du Maria Carré avait été expulsé en mars 2022, une majeure partie des habitant.es avaient été mis.es à l’abri dans des hôtels.
La métropole avait promis qu’il y aurait un suivi et que cela serait le début de quelque chose. Une grande partie des ex-habitant.es n’ont reçu aucun accompagnement de la part des services de la Métropole pendant ces 10 mois de mise à l’abri. Les ex-habitant.es se voient demandé.es de quitter les lieux dans 7 jours alors que les membres de la Métropole s’étaient engagé.es à des relogements pérennes pour toustes.
Il y a au moins une soixantaine de personnes dont des enfants qui se retrouvent menacés d’être à la rue en plein hiver. Au même moment que ce communiqué est écrit, une des femmes menacées d’expulsion est en train d’accoucher.
Les ex-habitants.e du Maria Carré demandent à ne pas être remis.es à la rue.
Nous ne nous laisserons pas faire. Si il n’y a pas de réponse satisfaisante de la Métropole, nous nous engagerons dans une série d’actions pour faire valoir nos droits.
Un Toit c’est un droit,
Des logements pour tous et toutes !
Des ex-habitant.es du Maria Carré et leurs soutiens
Manif surprise devant la Métropole cet après-midi. Les habitant·es demandent à être reçu·es pour obtenir des hébergements sur du plus long terme. Un toit c’est un droit !
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