Contrairement au reste de la société, les détenus et leurs proches sont privés de contact physiques depuis maintenant plus d’un an. Le covid n’est qu’un prétexte, car cela n’empêche pas les contacts avec les surveillants, et tout le personnel pénitentiaire !
Entre le directeur qui trouve « confus » le fait que des détenus demandent le retrait des plexiglas au parloir, lui qui est en contact avec ses proches tous les jours, et qui va et vient dans la prison sans que ça pose de problème de covid.
Le délégué syndical qui profite de la situation pour pleurnicher sur ses conditions de travail.
La prison est remplie à 145%.
Le covid, ça sert bien pour interdire les contacts familiaux, mais réduire les risques de contamination en faisant sortir des détenus entassés dans une prison insalubre avec des aménagements de peine prévus par la loi, faudrait pas exagérer...
Soutien aux détenus qui se sont révoltés et ont du faire face aux ERIS !
>Murs-Murs : Ateliers d’écriture et de création à destination des prisonnier·es
Rendez-vous mercredi 20 mars de 18 à 20h à la Gryffe pour un atelier d’écriture et de création pour les prisonnier·es.
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