L’évènement avait été annoncé içi..
Un demi-millier au départ des Terreaux, les manifestants ont atteint le millier en arrivant Place Carnot. Une cinquantaine de cyclistes ouvraient la marche.
Pas de banderole, juste quelques pancartes artisanales.
Peu de militants traditionnels se sont déplacés : en cherchant, on voit un drapeau des verts, un badge du NPA ou une pancarte contre le TAV. On retrouve quelques personnes qui se sont détournés des rassemblements habituels, plus politisés. La manif est composée d’une foule hétéroclite ayant juste conscience que ce changement climatique est important et que sa prise en compte est primordiale. Elle est colorée, elle s’applaudit, elle est composée d’être vivants, beaucoup de jeunes. Sur le pancartes artisanales on peut lire : « La planète est essoufflée, laissons la respirer », « Le changement climatique, c’est pas automatique » ou « On aime le climat ».
Le signe de reconnaissance le plus rencontré : un cœur vert.
Cela s’est finit en musique et par quelques danses place Carnot.
Comme l’écrivait un manifestant, on pourra dire à nos enfants : « On y était, on savait, on a essayé de faire quelques chose, mais on était pas assez nombreux. »
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