11 mars 2011 – 11 mars 2013 : Le crime nucléaire continue à Fukushima
Rassemblement lundi 11 mars à 18h devant les mairies et les préfecturesIl n’y a pas de dose de radioactivité anodine et sans effet sur la santé et le vivant.
Jour et nuit, depuis plus de 700 jours, les installations nucléaires japonaises en perdition relâchent en quantité « astronomique » de la radioactivité mortelle dans l’atmosphère et dans les eaux.
Plus de 250 000 japonais et japonaises sont expulsé-es de chez eux et ont tout perdu : maison, travail, lieu de vie, écoles des enfants, relations humaines, territoires, revenus, lieux de sépultures. C’est l’équivalent de la moitié de la population de Vaucluse.
Des milliers d’enfants de tous âges portent jour et nuit autour de leur cou des compteurs de mesures de radioactivité leur indiquant les doses mortelles reçues heure après heure. Plus du tiers ont à présent des nodules à la thyroïde.
Des milliers de familles survivantes sont toujours entassées à ce jour dans des espaces en cartons installés dans des gymnases. Des milliers d’ancien-ne-s demeurent prostré-e-s et hébété-e-s en attendant que mort radioactive accomplisse son oeuvre criminelle.
Leur combat contre le nucléaire est le nôtre. Solidarité ! Fukushima, Tchernobyl, Provence Même ennemi : même combat.
Jour et nuit, depuis plus de 14 000 jours, les installations nucléaires de la vallée Rhône-Durance, du Tricastin rejettent de la radioactivité mortelle dans l’atmosphère et dans les eaux. Idem pour les installations nucléaires civiles et militaires de Marcoule depuis 56 ans et celles de Cadarache depuis 53 ans.
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