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• Le 7 octobre 2010 à 14:21, par veganwarrioratrikesback #

  les animaux sont dans un schema predateur/proie pour leur politique exterieure, dominant/ domine pour l interieure. appelle cela de la politique, apres tout c pa vraiment different au niveau de nos etats.
  apres , libre a toi de te passionner pour le droit de vote des brebis, je prefere par larret de ma consomatin de matiere animale etre en resistance economique et anthropo-politique, apprecie leffort.
  bats toi dabord pour les hommes, on verra apres pour les betes. change les rapports des hommes entre eux, et leur rapports envers leur « cousins sentiens » changeront, linverse est encore plus dur a mon avis.

  cette definition arbitraire est defendable par le rapports de predation de lhomme envers lanimal, ou de lanimal envers lhomme. lhomme est un animal, qui peut cesser de letre, un predateur qui peut cesser de letre, une proie qui peut cesser de letre. et qui devient plus ou moins politique et sprituel a mesure qu il abandonne la predation directe envers les autres animaux et hommes.
  tu ne rendras pa un tigre vegan, alors preoccupe toi moins de sa conscience politique

• Le 6 octobre 2010 à 08:26, par yves #

  En fait, pourquoi la question animale ne serait-elle pas une question politique ? C’est justement le fond du débat... Pourquoi des questions humaines seraient-elles des questions qui se voient accorder un statut « politique », et pas celles qui concernent les autres êtres sentients (sensibles) qui sont eux aussi affectés par la forme de nos rapports sociaux ? En définissant l’espace de « ceux qui comptent moralement » (la sphère de la considération morale) en excluant les uns et en incluant les autres, on fonde justement l’espace non seulement éthique, mais politique. Et c’est en soi une opération politique fondatrice que de définir cet espace. Les égalitaristes, et les militants animalistes, pensent que cette définition a priori n’est pas défendable logiquement, rationnellement, et qu’elle est de ce fait arbitraire et injuste. Bref, que la question animale est pleinement politique, qu’elle est de ces questions cruciales qui touchent aux fondements même de nos civilisations. Et, effectivement, nous sommes pour un sacré changement de civilisation !

• Le 5 octobre 2010 à 12:20, par veganwarriorzback #

  je ne comprends pa pourquoi , apres avoir intitule cet article« engagement politique », on retombe sur un discours de vegtarien mielleux. on sen fout de la souffrance des animaux et de leur mort et agonie, la viande est un probleme parce kel tue les hommes, parce kel provoque un gachis de ressources ki prive des millions de leur ration deau et de cereales, parce kel pollue et nous empoisonne.
  personellement je te le dis comme ca, jadore tuer les animaux, simplement je ne les mange pas. bien sur ke je blague, mai pour koi nous racoller avec de la pretendue politique pour nous sortir encore la rengaine ridicule du genocide animal. on sen branle, il ya pleins de vraies et bonnes raisons de partir en croisade contre la necrophagie, mais se payer une bonne conscience en en faisan pa de mal au peluches nen est pas une.
  cf mon commentaire precedent en reponse a un debile profond sur ce site
  http://rebellyon.info/Mouvement-pour-l-abolition-de-la.html
  pour donner un exemple de discours rationel et militant en faveur du veganisme, ki ne verse pa dans le melodrame a tendance zoophile
  mais hasta siempre kan meme, on est la pour discuter

  hey moderateur je sais kje ne suis pa tres poli ni conciliant, mais post moi kan mem parce que mon point de vue merite detre lu et defendu