La police a sûrement encore tué le vendredi 29 mars.
Hier, le samedi 30 mars, après 2 jours sans nouvelles, la famille de Ange Dibenesha publie un appel sur Facebook pour savoir où est son fils. Hélas, c’était déjà trop tard, comme le relate un article plutôt fourni du Huffington Post :
Vendredi, c’est la mère d’Ange Dibenesha qui avait demandé de l’aide pour tenter d’obtenir des informations quant à l’état de son fils. Dans une vidéo publiée et relayée sur les réseaux sociaux, elle racontait : « J’ai mon fils à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, à Paris XIII. Mon fils a été emmené depuis mercredi, et ce n’est que le vendredi matin que nous avons été informés. » Ni son épouse, ni la famille n’étaient au courant avant cela.
Une fois que la famille a été au courant il était déjà trop tard. État de mort cérébrale. Comment cela s’est il passé ? On ne le saura surement jamais.
Comme souvent dans les cas de violence policière, les flics ont pris le temps de peaufiner une version.
Comme d’habitude, la victime était violente et toxicomane.
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