Comment la société française évite de s’interroger sur la colonialité du pouvoir ?
Quelle place pour les « outre-mers » dans un récit national blanc, métropolitain et étriqué ?
Comment l’histoire de l’esclavage est aujourd’hui atténuée voire invisibilisée dans une République atteinte de cécité ?
A l’occasion de la sortie du dernier livre de la chercheuse « Le Ventre des Femmes. Capitalisme. Racialisation et Feminisme »,
nous parlerons également de la situation des femmes racisées marginalisés et exploitées à l’île de la Réunion entre 1960 et 1980, et de la nécessité de dénationaliser et repolitiser le féminisme.
C.R.A.A.P (Collectif de Réflexions, Analyses et Actions Postcoloniales) :
Nos premiers axes sont l’anticolonialisme et l’antiracisme politique mais nous avons conscience de l’imbrication des dominations racistes, sexistes, néolibérales etc.
Nous cherchons à faire circuler différentes formes de discours et de pratiques critiques, à développer des contre-pouvoirs et à construire un réseau en résistance aux identités figées, aux déterminismes sociaux et aux inégalités sociales.
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