Un étudiant de Lyon II nous raconte la journée d’actions du 21 mars. Rendez-vous mercredi 22 mars à 6h30, à Lyon II sur les quais ou à Bron, pour bloquer la fac.

Un compte-rendu de la plénière qui vient de se tenir à Dijon.

Étudiants et précaires ont obtenu lundi 20 mars 3 000 places de train gratuites pour aller manifester jeudi à Paris. Mise à jour du 22/03/06 après-midi : incertitudes sur la gratuité des trains.

C’est à bulletins secrets que la poursuite du blocage a été voté lundi. Les étudiants du Sciences-Po lyonnais organisent une journée de débats ce mardi 21.

La crise actuelle qui se cristallise autour du CPE, est l’aboutissement de plusieurs années de mécontentements, de luttes sociales, et surtout d’un ras-le-bol généralisé, face à la situation actuelle où la précarité et la souffrance sociale s’étendent de plus en plus.
si le mouvement a suffisamment d’énergie, d’unité, de détermination et de confiance en lui, il peut soulever des montagnes, faire chuter le gouvernement et amorcer un véritable changement de société, par la base.

Six arrestations ont eu lieu samedi 18 mars, après les provocations fascistes de la manif, protégée par la police, des « Loups gris » turcs contre le Mémorial arménien, qui a surgi brutalement après l’arrivée de l’énorme manif anti-CPE.

Nouvelle action des déboulonneurs de pub vendredi 24 mars 2006 vers 18h dans le 3^ème arrondissement de Lyon.

Face au fascisme de l’Etat et d’activistes turcs, solidarité :
 Rendons-nous ce LUNDI 20 MARS à partir de 13 h 30 aux comparutions immédiates, au nouveau palais de justice, rue Servient Lyon 3^e.
Article du site « antisécuritaire » avec PHOTOS

Le CPE a été voté sans que le gouvernement ne concerte personne, c’est ce que nous contestons tous, en plus du Contrat en lui-même. La démocratie, c’est aussi le droit de dire NON, et le gouvernement aurait tendance à l’oublier..

Retrait des CNE et CPE, arrêt de la casse sociale. La CNT appelle à s’organiser au sein d’Assemblées générales de salariés, d’étudiants et de lycéens pour reconduire la grève.
Unité vers la grève générale !

25 000 personnes contre le CPE ce 18 mars dans la rue à Lyon, dont un millier avec la CNT. C’est de loin la plus grosse manif depuis le début du mouvement. Photos.

En fin de manif Anti Précarité, quelques centaines d’Anti CPE, face à une manif de quelques milliers de négationnistes turcs, qui dégénère place Bellecour, jusqu’à des attaques de la Mobile sur les pentes. Heurts, gaz lacrymos, barricades et des arrestations de jeunes et d’anti-fascistes.

Le CPE (ridiculement et pompeusement nommé « loi sur l’égalité des chances »), apporte un élément qualitatif nouveau et oh ! combien révélateur mais n’est que l’avatar d’une longue série de mesures prises, par la Droite comme par la Gauche, pour essayer de résoudre un problème insoluble, celui du chômage.

la coordination nationale étudiante appelle à une manifestation centrale à Paris, le jeudi 23 mars. Appel à un rassemblement pour réclamer des trains lundi 20 mars à 9h00, place Carnot, devant la gare de Perrache.

Les manifestations démontrent l’ampleur du refus populaire du CPE, et pour beaucoup, au delà du CPE, le refus de la régression sociale. Le gouvernement fait toujours la sourde oreille. Continuons ensemble le combat pour le retrait du CPE. Et ensemble, demandons aussi le retrait du CNE !

30 personnes à l’AG du jeudi 16, une administration qui sabote depuis longtemps toute tentative d’organisation des étudiant-es. Et un appel au renfort d’autres facs... Prochain rendez-vous mardi 21 mars à midi.

« Peut-être les forces qui menacent la liberté sont-elles trop puissantes pour que l’on puisse leur résister longtemps. C’est encore et toujours notre devoir de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour nous opposer à elles ! »

Les événements à propos du CPE après la manif du 16 et les nouvelles des campus de Lyon au soir du vendredi 17 mars 2006.

Les premières rencontres mondiales des développeurs et utilisateurs d’applications graphiques libres se font à Villeurbanne, les 17, 18 et 19 mars 2006. Entretien avec Dave Neary, l’un des coorganisateurs du projet.