« Nous devons relever ce défi de la formation à distance, des classes virtuelles, des parcours personnalisés pour nos élèves. Renoncer au numérique, ce serait renoncer à la compétition mondiale du savoir. » Luc Chatel, ministre de l’ éducation.
L’ expérience montrant aux gouvernements qu’il vaut mieux maîtriser pleinement son appareil de communication lorsqu’il s’ agit de « faire participer pour faire accepter », ces journées ont été ponctuées de conférences d’ experts, de professeurs enseignants entièrement acquis à la cause des TICE ( Technologies de l’ Information et de la Communication pour l’ Education). Tous participent à leur essor, que ce soit sur le plan philosophique, pédagogique, juridique ou administratif. Plan de développement du numérique à l’ école.
La communication de ces journées se limitant aux quelques initiés s’impliquant dans ces technologies et un « timbre » dans le Progrès , le bien nommé pour l’occasion, nous ne trouverons pas de trouble-fêtes venant poser des questions radicales. Cependant, on remarquera les pleines pages de pub pour Microsoft et ses logiciels éducatifs dans les gratuits et ce que l’on appelle des articles de publi-information dans la presse régionale, la semaine précédant ce colloque du e-learning.
Ingurgitant plusieurs heures de conférences et de visio-conférences, il est difficile de faire ressortir de l’information, l’argumentaire de base des universitaires présents se cristallisant autour « de l’accompagnement pédagogique avec ces nouveaux outils que sont les TICE. », le discours sera bétonné. Mais tout de même : « Nous trouvons ici, toujours une substance intellectuelle et participer à vos colloques est un moment qu’il ne faut pas manquer » (Jean Claude Mascalet, Président de l’Université Numérique Juridique Francophone, UNJF)
Et si nous pensions par nous-mêmes ?
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