Ce mardi 18 Janvier, l’Amicale accueille Les Soulèvements de la terre pour une cantine de soutien. Ouverture des portes à 18h30, repas, présentation des Soulèvements et de la date de mobilisation du 5 Mars à Lyon.

Ceci est un ultimatum.
Le siège social France de Bayer-Monsanto, installé à Lyon, doit partir. Nous leur laissons trois mois pour faire leurs cartons et déguerpir de leur tour de verre, et d’ici-là nous saurons le leur rappeler.
Nous ne laisserons pas cette multinationale et les autres dessiner le monde de demain. Il nous faut désarmer cette industrie meurtrière.
Nous appelons à venir assiéger le siège national de la firme le 05 mars 2022.

Le 21 juin 2019 à Pusignan (Rhône), près de l’aéroport Lyon Saint-Exupéry, des Faucheurs volontaires ont arraché des plants de tournesols rendus tolérants à un herbicide (VrTH), Clearfield (une marque de BASF).

Le 12 octobre 2013, Marche contre Monsanto à Lyon. Rendez-vous à 12h au parc de Parilly.

Moratoire sur le Mon 810, puis suspension du moratoire, puis réactivation... mais cette réactivation se fait sans les mesures nécessaires pour interdire tout semis de maïs au printemps 2012. Les apiculteurs appellent à manifester devant les locaux de Monsanto.
Voir le retour en photo : 150 personnes à Bron pour le droit de butiner sans OGM

Ce n’est pas de gaîté de coeur que Christophe n’a pas participé aux luttes contre les OGM en Ardèche cet été 2007. Non parce qu’il critique individuellement des militants auxquels il reconnaît de grandes qualités, mais parce qu’il trouve que, collectivement, la critique telle qu’elle s’organise fait souvent fausse route, en gommant la vitalité des luttes de classes. Il propose ici une mise à jour des logiques cachées, à l’aide de la notion de « distinction » apportée par Bourdieu...

Émergence d’une crise globale sur la nourriture, et attention, aussi sur la bière... (Sur le site « Terre de Brut »)

Près de l’Hôtel de Ville, on pouvait y lire : « NON A BIOVISION » ! En effet, ce samedi 17 février à 14h, place Louis Pradel, à Lyon, des individus membres du
collectif « non à Biovision » ont déployé une banderole géante.
Le but de cette action est, un mois avant le début de la foire
Biovision/Biosquare, d’interpeller l’opinion publique et les médias sur les
méfaits des entreprises de biotechnologies et de ceux qui les supportent.

Les Faucheurs Volontaires nous demandent d’exiger massivement un moratoire pour les OGM, et l’interdiction des cultures de maîs transgénique que veut faire passer la Commission Européenne et les firmes multinationales par l’intermédiaire du lobby des industries biotechnologiques...
Cela peut entraîner à se faire la main avant l’opposition à Biovision !

Monsanto, dont le siège est à Bron, a été condamné à une amende de 15.000 euros, et des dédommagements de 5000 euros, pour publicité mensongère sur le pesticide Roudup. Et pourtant cela ne va pas empêcher Monsanto de trôner à la foire de Biovision en mars prochain, proposer OGM et autres « poisons » en tous genres pour prendre des parts de marché.

Inonder la boîte à lettres et le fax de Limagrain pour protester contre leur acharnement à poursuivre Monique, Franck et Gilles, s’indigner de ces procédures, leur demander d’arrêter ces poursuites, c’est ce que peut faire chacun d’entre nous...

Suite à une procédure qui lui a été défavorable, le semencier tente de nouveau de s’attaquer au porte-monnaie des faucheurs et faucheuses volontaires.
Menace de saisie mobilière à partir du 11 janvier !

Ce lundi 11 décembre, plus de 250 personnes se sont retrouvées devant le Tribunal au Chambon-Feugerolles (42) suite à la procédure de saisie sur rémunération lancée par Limagrain, visant Monique, une des 15 de Nonette. L’arsenal juridique de Limagrain a été mis en échec, ce jour là : la procédure a finalement été déclarée caduque.

Programme des discussions et actions du dimanche 10 à La Ricamarie et lundi 11 décembre 2006 au Chambon-Feugerolles.

C’est une convocation en conciliation, suite à la saisie de ses rémunérations par la société Limagrain, le lundi 11 décembre à 9h, au tribunal d’instance du Chambon Feugerolles (42).

Ils faisaient partie d’un groupe de 400 faucheurs volontaires qui sont intervenus en plein jour le 27 août 2005 sur trois parcelles d’OGM près d’Issoire dans le Puy-de-Dôme. Parmi eux, les 15 personnes condamnées refusent de payer des sommes considérables à Limagrain, Meristem, et Agromanager.

Après la condamnation à Clermont-Ferrand pour le fauchage de Nonette (63), tombent les « commandements de payer avant saisie vente » par Limagrain et les enquêtes pour « association de malfaiteurs » ! Un communiqué de presse des Faucheurs Volontaires d’OGM. 

« Ce sont bien les multinationales et le pouvoir seul de l’argent qui mènent le monde.
Quel est le pouvoir réel du politique là-dedans et à quoi se réduit la loi ?
Lorsque légalité et légitimité sont à ce point déconnectés, à quoi se réduit la justice ? Limagrain et sa filiale Méristem décident de cultiver du maïs transgénique dans le Puy de Dôme en 2005 pour le motif, « ô combien noble » de soulager les enfants malades : après s’être informés à des sources objectives, Région et (...)

Communiqué des Faucheurs Volontaires Rhône-Loire suite au commandement aux
fins de saisie.
Réunion du Comité de soutien « les 15 de Nonette » le mardi 26 septembre à Saint-Étienne.

Trois faucheurs d’OGM vont être jugés à Marmande (47) pour avoir neutralisé le 2 septembre du maïs transgénique à Grézet-Cavagnan. Le collectif Rhône-Loire appelle à les soutenir mardi 19 septembre à 10h. Et/ou à écrire une lettre de soutien.
Mise à jour le 16/09.