En Grèce, ici, ailleurs, partout....

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Depuis une semaine, la Grèce explose. Manifs, émeutes, incendies, vitrines de magasins et de banques pétées, braquages, caillassage de flics, occupations des lycées et des universités, etc.... Ca part dans tous les sens, dans toutes les villes, toute la population s’y met...


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Ailleurs en Europe et dans le monde, les actions de soutien se multiplient :
A Londre, à Berlin, à Paris, en Italie.... ça occupe des consulats, à Madrid, ça attaque un comissariat, à Bordeaux deux voitures brûlent devant le consulat de Grèce, les tags de soutien fleurissent un peu partout sur les murs.
Plus localement à la Guillotière une voiture brûle mercredi soir devant un tag de soutien aux émeutiers grec et la consigne : « brûlons » (peut-être pas de rapport ? oui, peut-être...)
Jusqu’à lundi tous les consulats de Grèce en France sont fermés.
Mais la solidarité doit faire face aussi à son lot de répression : arrestations, fichage des manifestants, etc.
(pour plus d’infos sur les actions de soutien )

C’est la mort de l’adolescent qui a mis le feu aux poudres comme disent les médias, mais la poudre était là depuis longtemps, dans tous les domaines de la vie.
Le salaire moyen en Grèce tourne autour de 700 euros quand le coût de la vie y est aussi élevé qu’en France, tourisme oblige...
La crise ne vient rien arranger, le gouvernement corrompu et ses polices fascistes, racistes, violentes (rappelées plusieurs fois a l’ordre par la communauté internationale) non plus, même si pour l’instant dans les événements actuels on compte peu d’arrestations et le droit d’asile est encore respecté dans les universités.

La Grèce est partie pour trois jours de grève générale... Générale... Pour un ras-le-bol général, une envie de faire bouger les choses, pas un secteur, pas une branche, mais de changer un système en entier....

Et ici ? Il se passe quoi ici ? A peu près la même chose, la même merde... Ici aussi la police tue, ici aussi le capitalisme nous crève.
Pluie de réformes catastrophiques, police dans les collèges, les lycées, assassinats dans les prisons, voire dans les commissariats, inculpations bidons pour terrorisme, chasse aux immigrés, aux sans-papiers, fichage de la population, 1.000 licenciements par jour...
Les bourses s’écroulent mais les patrons s’augmentent, l’Etat renfloue les banques à coup de milliards...
Les SDF meurent dans la rue.
Les gens manifestent régulièrement, des grèves fleurissent un peu partout, hôpitaux, éducation... Mais toujours par secteur, jamais ensemble...

Les dirigeants du monde savent s’allier pour nous dominer.
Les Grecs descendent unis dans le rue pour crier leur révoltes....

Certes ça va pas tout changer, mais c’est déjà un début....

Alors on attend quoi ?

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P.-S.

Toutes les photos sont de Sotiris Farmakidis en Creative Comons.

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  • Le 19 décembre 2008 à 07:51

    Non non, cet article est trés bien, peu être le plus réaliste que j’ai pu lire dans la presse francaise !! Moi je suis sur place, je fais une année erasmus à Athènes, et je prends largement part à tout ces mouvements ! Je suis extrêmement content de voir que ça suit en France ! qu’il se passe des choses contre notre gouvernement, et ses stratégies économiques et policières ! Le peuple grecque vit une situation trés difficile puisqu’ils sont dans leur « génération 600 euros » avec un cout de la vie égal voir supérieur à celui français ! Et en ce qui concerne la police, déjà qu’en France on recrute à CAP -4, c’est corruption et compagnie. Le petit alexandros n’a pas lancé grand chose sur la voiture de policier ! Mais les policiers sont partis garer leur voiture plus loin et sont revenu avec pistolet à la main, et on tiré plusieurs fois !!! Après analyse de la balle qui a pénétrée sa poitrine, les experts ont dit qu’elle était déformé, et que donc elle n’avait pas été tiré en direction de l’enfant. Mouai ! Moi je pense que si l’on veut juste impressionner on tire en l’air (si l’on admet que le fait d’armer un policier sans cervelle est légitime) !! Je pense que le condé était juste une grosse brel qui savait pas tirer ! Mais, une chose est sur, le petit il voulait lui mettre une balle pour lui faire voir comme il était puissant avec son petit pistolet !! Hier un autre enfant a été touché par balle, mais cette fois c’est « juste » la main qui a été touché. Le gouvernement s’est empressé de dire qu’aucun policier n’était dans le secteur au moment de l’accident. Je demande confirmation... En tout cas cet évenement a rallumé la poudre dans le centre d’Athènes. Voila, donc moi je sais ce que je vais faire de ma journé et ma nuit !

    Si vous avez besoin du moindre renseignement, je suis a votre disposition, Salut à toi peuple Français !

  • Le 18 décembre 2008 à 19:58

    en Islande aussi la révolte gronde :
    http://anarsonore.free.fr/spip.php?breve39

  • Le 17 décembre 2008 à 17:10

    Lettre ouverte des travailleurs d’Athènes à ses étudiants, dans le contexte des bouleversements sociaux qui ont suivi l’assassinat policier d’un jeune garçon.

    Notre différence d’âge et l’éloignement rendent difficile la discussion dans la rue ; c’est pourquoi nous vous envoyons cette lettre.

    La plupart d’entre nous ne sont pas (pour l’instant) devenus chauves ou bedonnants. Nous avons fait partie du mouvement de 1990-1991, dont vous avez dû entendre parler. A l’époque et alors que nous occupions nos écoles depuis 30/35 jours, les fascistes tuèrent un enseignant parce qu’il avait outrepassé son rôle (qui est d’être un gardien) et qu’il avait rejoint le mouvement adverse ; il nous avait rejoint dans notre combat. Alors même les plus forts d’entre nous rejoignèrent la rue et ses émeutes. Pourtant, à l’époque, nous n’envisagions même pas ce que vous faites si facilement aujourd’hui : attaquer les commissariats (bien que nous chantions : “Brûlons les commissariats !”…).

    Vous avez donc été plus loin que nous, comme il arrive toujours au cours de l’histoire. Bien sûr, les conditions sont différentes. Dans les années 90, ils nous firent miroiter des perspectives de succès personnel et certains d’entre nous y crûrent. Maintenant plus personne ne peut croire leurs contes de fées. Vos grands frères nous l’ont prouvé durant le mouvement étudiant 2006/2007 ; à votre tour, vous leur rédégueulez en pleine face leurs contes de fées.

    Jusqu’ici tout va bien.

    Maintenant les questions intéressantes mais difficiles vont apparaître.

    Nous allons vous dire ce que nous avons appris de nos combats et de nos défaites (parce qu’aussi longtemps que ce monde ne sera pas le nôtre, nous serons toujours les vaincus) et vous pourrez vous servir comme vous le souhaitez de ce que nous avons appris :

    Ne restez pas seuls ; faites appel à nous ; contactez autant de personnes que possible. Nous ne savons pas comment vous pouvez le faire, mais vous y arriverez certainement. Vous avez déjà occupé vos écoles et vous nous dites que la raison la plus importante est que vous n’aimez pas vos écoles. Impeccable. Maintenant que vous les occupez, changez leur rôle. Partagez vos occupations de bâtiments avec d’autres personnes. Faites que vos écoles soient les premiers bâtiments à accueillir de nouvelles relations. Leur arme la plus puissante est de nous diviser. De la même façon que vous n’avez pas peur d’attaquer leurs commissariats parce que vous êtes ensemble, n’ayez pas peur de nous appeler pour que nous changions nos vies tous ensemble.

    N’écoutez aucune organisation politique (qu’elle soit anarchiste ou n’importe quoi d’autre) Faites ce que vous avez besoin de faire. Faites confiance aux gens, pas aux idées et aux schémas abstraits. Ayez confiance en vos relations directes avec les gens. Ne les écoutez pas quand ils vous disent que votre combat n’a pas de contenu politique et qu’il devrait en avoir un. Votre combat est le contenu. Vous n’avez que votre combat et il ne tient qu’à vous seuls de conserver son avance. C’est seulement votre combat qui peut changer votre vie, à savoir vous-même et vos vraies relations avec vos camarades.

    N’ayez pas peur de la nouveauté. Chacun de nous en vieillissant a des idées gravées dans le cerveau. Vous aussi, bien que vous soyez jeunes. N’oubliez pas l’importance de cela. En 1991, nous avons senti l’odeur du nouveau monde et ne l’avons pas trouvé très agréable. On nous apprenait qu’il y a des limites à ne pas dépasser. N’ayons pas peur des destructions d’infrastructures. N’ayont pas peur des vols dans les supermarchés. Nous avons produit tout cela, c’est à nous. Comme nous dans le passé, vous avez été élevés pour produire des choses qui ensuite ne vous appartiennent plus. Reprenons tout cela et partageons-le. Comme nous partageons nos amis et notre amour parmi nous.

    Nous nous excusons d’écrire cette lettre rapidement, mais nous l’avons écrite sur notre lieu de travail, à l’insu de notre patron. Nous sommes prisonniers du travail comme vous l’êtes de l’école.

    Nous allons maintenant mentir à notre patron et quitter notre boulot sous un faux prétexte, pour vous rejoindre à Syntagma, les pierres à la main.

    http://libcom.org/news/letter-students-december-2008-16122008

  • Le 17 décembre 2008 à 12:29

    Quoiqu’en disent les médias français, rien ne se calme en Grèce !!!

    17/12/2008 - Déploiement d’une banderole « RESISTANCE » sur l’Acropole :
    http://www.rtbf.be/info/grecemanifestations-une-banderole-deployee-sur-lacropole-64945

    16/12/2008 - Des jeunes grecs piratent le « FRANCE2 grec » en pleine allocution du 1er Ministre,
    avec une banderole « ARRETEZ DE REGARDER LA TELE - TOUT LE MONDE DANS LA RUE » :
    http://www.youtube.com/watch?v=xeWKwQ4iHsE

    15/12/2008 - Les émeutiers utilisent des rayons laser pour aveugler les flics-porcs-assassins :
    http://uk.youtube.com/watch?v=oZgTekSb-0I

    14/12/2008 - Les communiqués de la résistance se font de plus en plus rageurs :
    http://emeutes.wordpress.com/

    Alignés au mur, fils de pute ! Nous sommes arrivés pour prendre ce qui nous appartient…

    En ces jours de rage, le spectacle comme une relation de puissance, une relation qui imprime son souvenir sur les objets et les corps, est confronté à un diffus contre-pouvoir qui déterritorialise le vécu, lui permettant de s’éloigner de la tyrannie de l’image pour s’aventurer dans le domaine des sens. Les sens ont toujours été perçus comme antagonistes (ils réagissent toujours contre quelque chose), mais dans les conditions actuelles, ils se dirigent vers une polarisation de plus en plus aiguë et radicale.

    Des caricatures soi-disant pacifiques des médias bourgeois ( “la violence est toujours inacceptable, partout dans le monde”), nous ne pouvons que nous gausser : leur loi, leur loi d’esprit obéissant et consentant, de dialogue et d’harmonie ne sont rien d’autre qu’un bestial plaisir bien calculé : un carnage garanti. Le régime démocratique sous son verni pacifique ne tue pas un Alex chaque jour, précisément parce qu’il tue des milliers de Ahmets, Fatimas, JorJes, Jin Tiaos et Benajirs : parce qu’il assassine systématiquement, structurellement et sans remords l’ensemble du tiers monde, qui est le prolétariat mondial. C’est de cette façon, à cause de ce quotidien massacre à froid, qu’est née l’idée de liberté : la liberté non pas comme un prétendu bienfait humain, ni comme un droit naturel pour tous, mais comme le cri de guerre des damnés, comme le principe de la guerre.

    La classe bourgeoise et son histoire officielle nous lavent le cerveau avec la légende d’un progrès graduel et stable de l’humanité au sein duquel la violence n’est qu’une désolante exception découlant d’un sous-développement économique, culturel et émotionnel. Pourtant, nous tous qui avons été écrasés entre les pupitres d’école, derrière les bureaux, les usines, ne savons que trop bien que l’histoire n’est rien d’autre qu’une succession d’actes bestiaux reposant sur un système de règles mortifères. Les gardiens de la normalité déplorent que la loi ait été violée par la balle du revolver de Korkoneas le Porc (le flic tueur). Mais qui ne sait pas que la vigueur de la loi est simplement la force de la puissance ? Que c’est la loi elle-même qui permet le recours à la violence contre la violence ? La loi est vide de bout en bout, elle n’a aucun sens, ni aucun autre but que celui de déguiser la force du pouvoir.

    Dans le même temps, la dialectique de la gauche tente de codifier le conflit, la bataille et la guerre, avec la logique de la synthèse des contraires. De cette manière, il construit un ordre, un état pacifié au sein duquel tout a sa propre petite place. Pourtant, le destin du conflit n’est pas la synthèse - comme le destin de la guerre n’est pas la paix. L’insurrection sociale contient la condensation et l’explosion de milliers de négations, pourtant elle ne contient en aucune de ses sous-parties, ni en aucun de ses moments, sa propre négation, sa propre fin. C’est toujours avec une certitude lourde et sombre qu’arrivent les institutions de médiation et de normalisation, de la gauche promettant le droit de vote dès 16 ans, le désarmement mais le maintien des porcs, l’État-providence, etc. En d’autres termes, en voilà qui souhaitent tirer un gain politique de nos blessures. La douceur de leur compromis suinte le sang.

    Ceux qui sont contre la violence sociale ne peuvent pas être tenus pour responsables de ce qu’ils n’assument pas : ils sont destructeurs de bout en bout. Si les luttes contemporaines ont quelque chose à nous apprendre, ce n’est pas leur triste consensus sur un objet (la classe, le parti, le groupe), mais leur processus systématiquement anti-dialectique : pour eux, l’acte de destruction ne contient pas nécessairement une partie créative. En d’autres termes, la destruction de l’ancien monde et la création d’un nouveau monde sont pour eux deux processus discrets mais continus. Pour nous, la question est plutôt quelles méthodes de destruction de l’existant peuvent être développées en différents lieux et moments de l’insurrection ? Quelles méthodes peuvent non seulement maintenir le niveau et l’ampleur de l’insurrection, mais contribuer à son amélioration qualitative ? Les attaques de commissariats, les affrontements et les barrages routiers, les barricades et les batailles de rue, sont maintenant un phénomène social quotidien dans les villes et au-delà. Et ils ont contribué à une déréglementation partielle du cycle de production et de consommation. Et pourtant, ils ne sont qu’une attaque partielle de l’ennemi ; il est évident que nous restons piégés dans une seule et unique dimension de l’attaque contre les relations sociales dominantes. Car le processus de production et de circulation des marchandises en lui-même, autrement dit le capital comme relation, n’est qu’indirectement touché par les mobilisations. Un spectre plane sur la ville embrasée : celui de la grève générale sauvage à durée indéterminée.

    La crise capitaliste mondiale a ôté aux patrons leur réponse la plus énergique et la plus mensongère à l’insurrection : « Nous vous offrons tout et pour toujours, alors que tout ce qu’eux peuvent vous offrir n’est qu’un présent incertain”. Avec ses entreprises qui s’effondrent les unes après les autres, le capitalisme et son Etat ne sont plus en mesure d’offrir quoi que ce soit d’autre qu’un lendemain pire de jour en jour, une situation financière asphyxiante, des licenciements, la suspension des pensions de retraite, des coupes dans les budgets sociaux, la fin de la gratuité de l’enseignement. Au contraire, en seulement sept jours, les insurgés ont prouvé par la pratique ce qu’ils peuvent faire : transformer la ville en un champ de bataille, créer des enclaves de communes dans l’ensemble du tissu urbain, abandonner l’individualité et sa sécurité pathétique, rechercher la formation de leur force collective et la destruction totale de ce système meurtrier.

    À ce moment historique de la crise, moment de rage et de rejet des institutions auquel nous sommes finalement parvenus, la seule chose qui peut transformer le système de déréglementation en une révolution sociale est le rejet total du travail. Quand les combats se dérouleront dans des rues assombries par la grève de la compagnie d’électricité, lorsque les affrontements auront lieu au milieu de tonnes de déchets non collectés, lorsque les tramways seront abandonnés au milieu des rues, bloquant les flics, lorsque l’enseignant en grève allumera le cocktail molotov de son élève révolté, nous serons enfin en mesure de dire : Camarade, “les jours de cette société sont comptés ; ses raisons et ses mérites ont été pesés, et trouvés légers”. Aujourd’hui, cela n’est plus un simple fantasme, mais une possibilité réelle dans la main de chacun : la possibilité d’agir concrètement sur le concret. La possibilité d’apercevoir les cieux.

    Si tout cela, à savoir l’extension du conflit dans la sphère de la production-distribution, avec ses sabotages et ses grèves sauvages, semble prématuré, ce ne serait que parce que nous n’avons pas réalisé à quelle vitesse le pouvoir se décompose, à quelle vitesse les méthodes de confrontation et les formes de contre-povoir se diffusent socialement : des lycéens qui caillassent les commissariats aux employés municipaux et aux voisins qui occupent les mairies. La révolution ne se fait pas par la croyance et la foi en des conditions historiques à venir. Elle se fait en saisissant n’importe quelle occasion d’insurrection dans chaque aspect de la vie sociale, en transformant notre animosité envers les flics en une grève définitive aux pieds de ce système.

    Dehors les porcs !

    14 décembre 2008 - Initiative du Comité d’Occupation de l’Ecole Athénienne d’Economie et d’Affaires
    http://emeutes.wordpress.com/

  • Le 12 décembre 2008 à 21:28

    désolé pour les fautes d’orthographe, article posté un peu à l’arrache...

    sinon une interview d’un copain de l’ESE, l’equivalent de la CNT en Grèce :

    http://www.cnt-f.org/international/spip.php?article261

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