Un texte de Charles Reeve, auteur de plusieurs bouquins chez Spartacus ou l’Insomniaque, sur des mouvements révolutionnaires du Portugal à la Chine, revient sur le mouvement américain « Ocupy Wall Street ».
Ils ne font plus beaucoup parler d’eux, trêve hivernale oblige. Mais ils sont encore là - à preuve, les 68 arrestations réalisées par la police le soir du jour de l’an, quand des participants d’Occupy New York ont tenté de réoccuper Zuccotti Park. L’hibernation n’est pas totale, donc. Le bon moment pour revenir sur les racines, réussites et échec du mouvement Occupy aux États-Unis. (…)
Plutôt que de s’enfoncer dans le désastre, rien ne nous empêche de chercher de nouveaux chemins. Leurs contours nous paraissent encore imprécis, nous les voyons surtout en négatif. C’est à ce titre que, à l’instar des mouvements des Indignés en Europe, le mouvement Occupy est, malgré ses imperfections, contradictions et faiblesses, enthousiasmant et porteur d’espoir.
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