A l’approche des élections municipales, les édiles socialistes locaux se sont appropriés un argument électoral de taille : les caméras de surveillance. Ils finissent d’entériner, à l’échelle de la ville, le discours sécuritaire partagé par l’ensemble des partis bourgeois. Rien de bien surprenant. Mais plutôt que de déplorer la perte de nos libertés individuelles (mises à mal depuis longtemps !) il s’agit de porter la critique de la vidéosurveillance en tant qu’ outil comme un autre du (...)
