Depuis 2008, sous prétexte de la crise économique, la troïka (FMI, Banque Centrale et commission européenne) en collaboration avec le gouvernement grec ont transformé un peuple en troupeau de pauvres, chômeurs et travailleurs sans droit.
Une partie de la population se révolte contre cette misère économique et sociale en créant des cellules de lutte et de solidarité. L’ état pour mieux contrôler et opprimer ces mouvements, à utilisé, comme ses deux dispositifs les plus performants : le fascisme et le pouvoir répressif. Cette violence étatique et para-étatique attaque les collectifs qui continuent à résister tout autant que « les maillons faibles » : immigrés, toxicomanes et sans papiers.
La crise n’est plus exclusivement économique, à travers la désagrégation des tissus sociaux, elle est devenue en fin de compte une crise sociale.
>[Italie] Révolte au CPR de Turin !

Un peu plus d’un mois après la réouverture du CPR de Turin – tard dans la soirée du 30 avril – le feu de l’émeute a éclaté, conduisant à la fermeture actuelle de la zone violette.
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