La précarité, c’est par exemple ne pas avoir de logement…La précarité, c’est par exemple ne pas être entouré.e par des personnes fiables…La précarité, c’est par exemple ne pas trouver comment gagner sa vie…… malheureusement, tous ces problèmes sont souvent le cas des personnes exilées.
La santé mentale dans la précarité : Souffrance et survie ?
Rencontre à l’Amicale du Futur, 31 rue Sébastien Gryphe 69007 Lyon
Mardi 11 Mars de 18h30 à 21h
avec Morgan Fahmi (psychiatre à la PASS du Vinatier et à l’ORSPERE-SAMDARRA, l’Observatoire Santé mentale, Vulnérabilités et Sociétés)
et Nina Tissot (éducatrice spécialisée en CAARUD et sociologue pour l’Observatoire Français des Drogues et des Tendances Addictives )
La précarité fait mal, elle engendre de la souffrance morale. Dans ce contexte, des consommations de drogues (alcool, cannabis, médicaments, etc.) peuvent apparaître pour aider à supporter les conditions de vie, mais peuvent également engendrer des problèmes spécifiques.
🔸 Comment comprendre les personnes exilées qui souffrent de la précarité ?
Moments de répit, convivialité, contacts avec leurs proches…
🔸 Comment ces personnes arrivent-elles à prendre soin d’elles-mêmes ?
Quels sont les lieux de ressources à Lyon pour la santé mentale des personnes dans la précarité ?
🔸 Comment se soutenir les un.e.s les autres ?
A l’écoute des intervenant.e.s, nous aurons aussi la possibilité de poser nos questions, de nous rencontrer, de partager nos expériences...
Ce temps d’échanges et d’écoute formel se prolongera autour d’un buffet (garni par l’apport des participant.e.s)
🍒 🍺 Le temps du buffet fait partie intégrante de la soirée !
Soirée libre et ouverte à tou.te.s.
pour offrir un lieu d’information repéré à Lyon, accessible aux personnes émigrées comme à toute personne qui veut se renseigner et renforcer son engagement personnel en faveur de l’accueil des migrants.
pour offrir un lieu où les personnes des différentes associations, collectifs locaux impliqués sur la question peuvent se croiser, se découvrir… Où la rencontre avec les personnes concernées, sur le terrain, facilite les mobilisations communes et nourrisse notre motivation.
Loin des flux d’information angoissants, en prise directe avec notre pouvoir d’agir.
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