« Les coupures généralisées, c’est devenu un mythe, cela ne devrait plus faire partie de notre culture syndicale. (…) C’est plus compliqué de ne pas mettre la France dans le noir que de le faire, il suffit de trois personnes. Si cela ne s’est pas produit, c’est grâce au niveau collectif de conscience très fort, et non par discipline, notamment chez les jeunes »Sophie Béroud, Les Robins des bois de l’énergieOn s’ennuie dans les défilés syndicaux ! Dites, il reste encore combien de kilomètres ?
On tourne en rond ! Et ça m’amuse même plus de tout casser en plus y’a J C Decaux et les karchers à la fin de la manif qui vont com d’hab tout nettoyer derrière.Je fais la grève mais l’état s’en balance. Il continue de faire grandir son réseau du futur ultra connecté. En plus, lui il a des bulldozers et moi j’en ai pas. Alors moi je me sens toute petite.
Tout le monde parle de la fin du monde, mais le monde il est déjà fini. Pas la peine d’en faire tout un plat. De toutes manières depuis que je suis née c’est « la crise ». Et puis, on est assis sur une poudrière qui a déjà explosé.
J’aimerai retrouver l’envie d’avoir envie. Je voudrais bien que ça bascule une bonne fois pour toutes. J’ai envie de tout éteindre les interrupteurs. Peut-être même je vais couper le compteur. Je voudrais jouer à cache-cache dans le noir.
>Les chiffres de l’IGPN, un iceberg des violences policières
Combien d’enquêtes ont été ouvertes pendant les manifs pour les retraites ? Ou pendant les Gilets jaunes ? Personne ne le sait ! Le ministère de l’Intérieur distille des chiffres tronqués, qui participent à l’invisibilisation des violences policières.
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