Samedi 17 decembre rassemblement contre la répression

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Rassemblement de solidarité aux inculpé-e-s de Toulouse dans l’action à la PJJ de Labège, en solidarité avec les révoltés de l’Établissement pénitentiaire de Lavaur.
Voir à ce sujet :
Toulouse : répression après une action contre la PJJ
Pourquoi on resterait calme ? Solidarité avec les inculpés de Toulouse

Solidarité avec les incarcéré-e-s de Toulouse, accusé-e-s d’avoir semé la pagaille les locaux de la PJJ

La Protection Judiciaire de la Jeunesse (ou PJJ) est l’organe administratif chargé en France de la répression des mineurs. Contrairement à ce que son nom indique, elle n’a pas principalement pour but de les aider, mais de les juger et de les punir. A côté des quelques rares jeunes qui ont parfois pu être « protégés » d’un environnement très dur, l’immense majorité des mineurs qui ont affaire à elle sont brisés par cette institution judiciaire. Au lieu d’être « aidés » d’une quelconque façon, ils finissent emprisonnés dans des EPE, des CEF, des EPM (les prisons pour mineurs), etc... d’où partent régulièrement des révoltes individuelles ou collectives, très durement réprimées c’est se qui s’est passer en mai 2011 : une muttinerie à éclater à l’établissement pénitentiaire pour mineur de Laveur et était violement réprimé au bout de 3 jours. Cela se traduit aussi sous la forme de suicides par celles et ceux qui ne supportent plus d’être broyés par ces prisons pour jeunes. Voilà l’horrible réalité dont la PJJ est un rouage !

S’opposer à cette institution est donc plus que nécessaire. C’est, parmi d’autres cas, ce qu’ont choisi de faire quelques personnes au mois de juillet dernier. Dans les locaux de la PJJ de Labège, en solidarité avec la révolte des prisonniers mineurs de Lavaur, du matériel a été cassé et des tags écrits sur les murs. Un salarié qui a voulu s’interposer a reçu du gaz lacrymogène, sans être blessé.

Cette action, n’est rien comparer à l’activité quotidienne de destruction de la PJJ. Mais cela a été prétexte à une répression disproportionnée qui a eu lieu mi-novembre à Toulouse : une dizaine de personnes ont été arrêtées après qu’une centaine de gendarmes aient perquisitionné pas moins de sept habitations, de nombreuses affaires ont été confisquées, et quatre personnes sont aujourd’hui en détention provisoire. Pour quelques tags et un peu d’excréments répandus sur des ordinateurs, les chefs d’inculpation sont très lourds : « Participation à un groupement en vue de la préparation de violences aux personnes ou de destruction de biens. Violences en réunion. Dégradations en réunion ».

Peu nous importe qui a dégradé les locaux de la PJJ. De toute façon, les membres de cette institution, qui ont brisé tant de jeunes, méritent cent fois d’être invectivés et de voir leurs matériels détruits !

Mais nous refusons cette répression :

Nous exigeons la libération des incarcéré-e-s et l’arrêt de toutes les poursuites !
Détruisons toutes les prisons !

Manifestations le 17 décembre / 14h30 / Place du Pont (G.Peri)

Un doc sur le site de sons en luttes (banque de donnée)

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samedi 17 décembre 2011

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  • Le 15 décembre 2011 à 18:00, par NN

    les réactions sont nées à partir de certaines phrases dans ce texte et de certains commentaires, donc ça me semblait approprié d’y répondre là,
    mais c’est claire que le débat mérite d’être poursuivit ailleurs

    juste pour répondre aux derniers commentaires :
    si on réagit vivement, enfin moi en tout cas, c’est contre les amalgames qui sont fait

    je partage les critiques sur l’intervention de travailleurs sociaux en prison, étant moi-même éduc je n’irais jamais y bosser, justement pour ne pas cautionner ce système, mais :
    les éduc PJJ ne bossent pas forcément en prison, donc toute la PJJ n’est pas « complice » des incarcérations de mineurs, la PJJ existait avant les EPM

    personne n’a mis en cause la légitimité de cette action de soutien aux inculpés, juste des passages du texte dérangeaient, mais pas l’action en soi
    et ils ne dérangeaient pas parce qu’ils sont « violents » mais parce qu’ils sont faux !! (la PJJ n’étant pas l’organe de la répression des mineurs, et si c’est effectivement ce qu’elle est en train de devenir, ce serait plus intéressant de défendre ce qu’elle devrait être plutôt que de cracher a la gueule de ceux qui y bossent...et qui souvent résistent de l’intérieur)

    d’accord pour qu’on s’attaque aux institutions et pas aux personnes, sauf que c’est pas le cas de tous les commentaires ici.... « vous les travailleurs sociaux » etc....
    est-ce que si on s’attaque a pôle emploi on va cracher à la gueule des mecs ou des meufs qui y bossent ? et quand on va soutenir la grève des ouvriers d’une raffinerie de pétrole ?

    encore une fois, totalement d’accord sur la critique du travail social en prison, et sur des aspects du travail social en dehors, mais pas pour tous les secteurs, pour toutes les personnes, etc....

  • Le 15 décembre 2011 à 11:21, par Un membre du collectif d’animation de Rebellyon.info

    Salut,

    on vous rappelle (encore une fois) que les compléments d’infos sont des compléments d’infos. Que le but y est bien de proposer des informations supplémentaires et pas de s’envoyer les antagonismes au visage sans chercher à avancer. Qu’on supprimera tout commentaire trashant ou insultant. Les arguments sont les bienvenus, les insultes entre camarades non. Vous avez lutté côte à côte contre la construction de l’EPM ou contre les lois répressives contre la jeunesse, le fait que vos analyses divergent ne font pas nécessairement de vous des ennemis !

    Au passage, et c’est une note personnelle : est il vraiment pertinent d’axer la discussion actuelle sur le rôle des travailleurs sociaux et non pas sur la violence de la répression étatique ? Il y a du monde en prison pour une violence symbolique et matérielle, quand bien même on ne partagerait pas le bien fondé de leur action, la disproportion et la violence de la répression d’état devrait inciter à un minimum de solidarité. Je peut bien comprendre que les éducateurs prennent mal le texte d’appel, mais le sujet n’est peut-être par vraiment là aujourd’hui, non ? Vous êtes par ailleurs toujours les bienvenus pour écrire/proposer des textes sur ce débat qui est loin d’être inintéressant, mais ce n’est peut-être pas le lieu sous cet appel.

    Rappel : La modération des compléments d’infos sur Rebellyon

  • Le 15 décembre 2011 à 11:01, par pokpok

    Et puis les minots qui tiennent le coup en EPM, ils tiendraient sans educ tinquietes pas va. Vos lutte corporatistes gardez les vous. Les gars de la Cimade ils ont la décence de dire que eux tout les jours ils légitiment la rétention par leur métier. Faut assumer la contradiction d’apporter une aide même minime en étant conscient des enjeux de légitimation derrière sinon autant qu’y ait que l’AP.

    Hé puis en p ;us ca va pas d’engager une discussion de fond sur la légitimité d’une action alors qu’y a une instruction et 4 personnes en prev’ ? Merde, faites ça en privé votre défense de vos choix professionnels sinon c’est une dissociation et une condamnation.

  • Le 15 décembre 2011 à 10:06

    je trouvais pas qu’on méprisais l’avis des gens
    mais peut être que c’est en partie par réaction aux fait que ce soit tous les travailleurs sociaux qui soient méprisés dans certains commentaires, et toute la PJJ dans le texte d’appel à la manif

    et dans notre boulot, en tout cas moi dans le mien et pour une partie des gens autour de moi, et ben on s’en inquiète justement de ce que vivent les gens qu’on accompagne, on réfléchie sur les rapport de pouvoir que ça entraine, sur ce qu’on met en place pour rendre les choses différentes, etc....

    mais à nouveau, ça dépend qui quoi comment, et tout n’est pas tout blanc ou tout noir

    après si la fonction en elle-même du travailleur social était craignos, on pourrait dire que peut importe que y’en ai des bien, une telle fonction devrait pas exister (genre : les flics par exemple), sauf que personnellement ce n’est pas mon avis concernant les travailleurs sociaux.....

  • Le 14 décembre 2011 à 22:01, par zomb

    Moi ce que je vois c’est que comme d’habitude les travailleurs sociaux sont plein de certitude sur ce que savent ou ne savent pas les autres. Et que je comprend vraiment que des gens est envie de leurs collé des tartes quand je vois comment vous vous permettez de mépriser l’avis des autres.
    Putain mais demandé un peut comment les gens qui passent entre vos mains comprennent votre fonction. Interroger vous un peut sur le ressenti des populations sur lesquelles vous êtes amené à exercer votre autorité ... après on pourra discuté de savoir si tel ou tel texte n’est pas un peut trop violent ...

  • Le 14 décembre 2011 à 17:10, par anarchat

    Tout à fait d’accord avec le commentaire du 12/12 à 22:04

    Ayant fait un stage de plus de 6 mois dans un foyer éducatif de la PJJ (je suis aujourd’hui moniteur éducateur), je suis effaré par les amalgames que je lis dans cet appel.

    Une petite précision : on n’est pas « emprisonné » dans un établissement de placement éducatif (EPE), on y est « placé » sur décision d’un juge des enfants. Et pour ce que j’en ai constaté, il est aussi simple de fuguer (et non pas de s’évader) de tels établissements que de passer leur porte (ou leur fenêtre si la porte est fermée). Il n’y a pas de contrainte physique ni de barreaux pour empêcher les jeunes qui voudraient se barrer, mais une simple déclaration de fugue à la brigade des mineurs si ils se barrent du foyer.

    Les mineurs qui font l’objet de ce type de placement ne vendent pas forcément de l’héro, mais peuvent être là aussi bien pour des faits de petite délinquance (vols, deal...) que pour des faits de violences (y compris sexuelles...). Il y en a même qui faute de places en ASE (aide sociale à l’enfance) sont placés dans ce genre d’établissement pour les éloigner d’un milieu familial « hum-hum », et essayer de trouver des solutions pour que leur développement soit moins en péril.

    Le boulot au quotidien des éducateurs PJJ avec qui j’ai eu l’occasion de bosser est de trouver des solutions et des perspectives à des jeunes mal barrés dans la vie, et surtout de tout faire pour leur éviter la taule. Un gosse qui part en EPM ou en CEF, c’est un échec pour l’équipe éducative.

    Mais ça les beubeus qui ont tapé cet appel ne doivent pas le savoir, ni savoir non plus qu’avant l’ordonnance de 1945 on envoyait les jeunes délinquants au bagne, ni se rendre compte que la droite et « la droite de la droite » veulent aujourd’hui casser la PJJ pour pouvoir revenir à des méthodes répressives « à l’ancienne » pour les petits gavroches. Un boulet et une pioche à Cayenne, en bref. Ça fait un point commun entre cet appel et le projet politique tout-répressif qu’on nous sert depuis quelques années.

    La PJJ n’est peut-être pas la panacée mais en attendant vous proposez quoi, à part défoncer la gueule à des éducs-pas-beaux-qui-emprisonnent-des-pauvres-mineurs ?

    A bon entendeur..

  • Le 14 décembre 2011 à 15:17, par des gens décu-e-s

    d’accord avec zomb, un débat stéril de plus.
    d’accord aussi pour dire qu’on sera juste 50 clampins.
    Le pire dans tout ça c’est qu’au moins si on serait solidaire entre les 50 ça passerait mais on va encore se retrouver avec des grandes gueules qui parlent d’actions directes, de groupes affinitaires etc etc et qui au moment d’aller au carton se dispersent et laissent les autres se faire arreter sous couvert qu’on fait pas partie du même cercle. ça nous fait bien rire.
    bref, on y sera avec l’idée que si on est 50 à partir on reviendra à 50 sans laisser personne dernière nous et sans faire de tri entre les gens.

  • Le 14 décembre 2011 à 15:03, par laure

    c’est l’institution qui est attaquée ici, institution qui, que tu le veuille ou non, applique des décisions de justice, comme celles d’enfermer des gosses, c’est bien l’action de la pjj au sein des EPM qui « humanise » celle ci.
    Et alors quoi ? Par ce que certains éduc ont lutté contre les lieux d’enfermements des mineurs, on ne devrait pas pouvoir s’attaquer à l’institution ? par ce que certains conseillers pôle emploi lutte contre le flicage des chômeurs, interdit de s’attaquer à pôlice emploi ? soyons sérieux
    pour rappel pendant les mutinerie à l’epm de lavaur, les éducs se sont mis en grève, non pas pour dénoncer la détention des gosses, mais pour obtenir des primes de risque, ils parlaient d’enfants « irrécupérables » qui n’avaient rien à faire dans un établissement « éducatif »comme les epm, et j’en passe des déclarations gerbantes. Alors oui, pour la lutte contre les epm, la pjj ( au même titre que l’AP) doit être une cible tant que chaque jour elle tournera la clef dans la serrure d’une cellule où un môme moisi.
    feu à toutes les prisons et à toutes les institutions complices

  • Le 14 décembre 2011 à 14:05, par NN

    les commentaires qui crachent sur le travail social sont de toute évidence ceux de personnes qui n’y connaissent rien, sinon leurs critiques (et critiques il doit y avoir) ne serait pas si basiquement niaises, inexactes dans les termes employés, les liens fais et les enjeux en question..... Idem pour les passages de l’article sur la PJJ

    il y a une critique du rôle social des travailleurs sociaux à avoir, seulement elle doit aussi etre mise en lien avec les marges de manoeuvre qui existent et qui font en sorte qu’il reste un sens à faire certaines choses avec certaines personnes dans certains contexte du travail social, qui ne sont pas si différentes de ce que l’on peut faire dans nos engagements politiques respectifs (libertaires en tout cas)
    mais ça pour le comprendre il faut s’y intéresser réellement....
    (et puis aussi au passage les luttes contre les prisons pour mineurs, contre l’idée du repérage de la délinquance dès 3ans, contre la psychiatrie ou une partie de ce qu’elle est, et ben pour une grande part c’est des luttes menées, et publicisées par des travailleurs sociaux, et qui s’ils n’existaient pas ça n’empecherait surement pas que toute cette merde se passe.... les travailleurs sociaux sont le symptome d’une société de merde, et pas la cause, et c’est à chacun d’eux de se poser la question de savoir si ils amplifient les choses ou non.....)

    personnellement je serai à la manif, pas pour cracher sur la PJJ, mais pour soutenir les camarades inculpés, dénoncer la détentions des mineurs (et pas seulemement « les conditions »... et puis pas que les mineurs non plus, mais bref)

  • Le 13 décembre 2011 à 21:38, par rzo
  • Le 13 décembre 2011 à 19:37, par zomb

    Moi ce que je vois c’est qu’il y a du monde pour faire des passes d’arme sur le net, mais que samedi pour soutenir les copains copines, on va encore se retrouver à 50 clampins sous le regard amuser de la flicaille ...

  • Le 13 décembre 2011 à 13:15, par plom

    A elle est belle la remise en question chez les travailleurs sociaux. Par ce que toi tu pense que tu peu y faire quelque chose au gamin qui vendent de l’hero à 14 pige ? Vous vous prenez pour des super hero ? En attendant votre boulot ça reste de maintenir acceptable l’idée de foutre un gosse de 16 piges dans une prisons, par ce que promit c’est la derniere solution y a les gentil gens de la pjj qui s’en sont assurer. Vous pouvez bien sortir tous les arguments du monde sur votre prétendu œuvre réparatrice, ça changera pas que au final vous travailler au service de la justice dans l’application des peines. Et que le petit jeune en face de vous on vous demande d’émettre un avis- un jugement- sur ces capacité d’intégration social.
    Impressionnant de voir à quel point vous finissez par faire corps avec votre métier de flic... Votre boulot quoi qu’il arrive ça reste de considéré des gamins comme des inadaptés, gamin qui pourtant n’ont fait que suivre la voie que la société leurs traçait.
    En fait vous auriez besoin qu’on attaques vos locaux plus souvent, vous commenceriez peut être à avoir une réflexion sérieuse sur votre rôle dans la justice de classe.
    Quand aux travaux réformiste radical(sic) de la CNT franchement y a de quoi bien se marré ...des fois on se demande si bientôt à la cnt vous ne finirez pas par demander « une autre prison »

  • Le 13 décembre 2011 à 12:31, par Malekal

    Toujours assez marrant de voir que le milieu militant s’empare souvent du domaine du travail social.
    Et généralement la preuve en est, c’est pour dire des grosses conneries.

    - Est-ce qu’on fait les chier les plombier sur leur façon de réparer nos fuites ?

    Le prochain gosse qui vend de l’hero a 14 piges qu’on rencontre, on vous l’envoi.. Ça évitera que la PJJ détruise sa vie !

    Je rejoins le commentaire précédent pour le côté technique.. Et je vous invite à voir les travaux de la CNT santé-sociaux sur la protection de l’enfance.

    N’enfermons pas la jeunesse, aidons la à s’émanciper !

  • Le 12 décembre 2011 à 22:04, par ....

    - « La Protection Judiciaire de la Jeunesse (ou PJJ) est l’organe admi­nis­tra­tif chargé en France de la répres­sion des mineurs. » Bon, alors la déja rien que d’un point de vue institutionnel, non.
    Je vous conseille une petite lecture de l’ordonnance du 2 février 45.
    Si vous vous considérez au dessus de cela, juste un petit rappel concret et non fantasmée et instrumentalisé : accompagner les jeunes mineurs en danger et/ou délinquants ainsi que leurs familles, le suivi éducatif des jeunes en milieu ouvert ou incarcérés ainsi que les permanences éducatives auprès du tribunal.

    - « Contrairement à ce que son nom indi­que, elle n’a pas prin­ci­pa­le­ment pour but de les aider, mais de les juger et de les punir. »
    Sérieusement, cet article est à pleurer et à vomir.... De quel droit peut on se permettre d’affirmer ce genre de choses ? Sincèrement c’est pitoyable.
    Effectivement, le rôle de jugement existe dans le système pénal, c’est celui du juge pour enfants.... Et oui effectivement, le suivi par la PJJ d’un mineur résulte souvent d’une sanction pénale (bien évidement, mettons les mesures de protection de côté, on finirait par avoir l’air presque humains et non des crypto-flics à la solde de je ne sais qui...)

    - En outre, j’ai l’impression qu’un sentiment de confusion étrange subsiste... Cibler la PJJ pour les conditions de vie dans les EPM, ça n’a pas vraiment de sens. L’administration pénitentiaire me semble être d’avantage à pointer du doigt dans tous les faits terribles (que je ne remet surement pas en cause) survenus en milieu carcéral.

    - Une derniere chose, l’orientation en CEF/EPM n’est surement pas le lot et le choix des travailleurs sociaux de la PJJ... Une remise en cause institutionnelle et une reflexion de fond est en cours dans le corps éducatif. Oui, entre deux passage à tabac de mineurs en EPM, nous trouvons le temps d’essayer de faire bouger les choses.

    En tout cas, ravie d’avoir appris qu’en tant que travailleur social de la PJJ, je participe à la destruction de l’avenir des mineurs. Merci, bonsoir.

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