La Théorie critique de l’Ecole de Francfort, développée par des auteurs comme Adorno, Horkheimer, Benjamin et Marcuse, continue d’être une référence principale pour la réflexion sur les impasses -toujours plus manifestes- dans lesquels se trouve notre modèle de société.
En conséquence à la défaite voire la récupération de tout effort pratique d’une transformation radicale de ce modèle, la théorie critique avait adopté un profond scepticisme face à l’action politique, celle de la génération de ’68 incluse.
Vu l’émergence de nouveaux mouvements contestataires dans le monde actuel, est il possible d’envisager une pratique qui ne trahit pas la radicalité d’une théorie qui vise juste ?
Compléments d'info à l'article
Proposer un complément d'info