La semaine dernière près d’une trentaine de contrôleurs étaient convoqués devant le conseil disciplinaire. Douze d’entre eux seront probablement licenciés, seize autres ont été moins durement jugés.
Très embarrassées par l’affaire, les directions de Keolis et du Sytral en font des « contrôleurs ripoux ». La vérité serait-elle ailleurs ?
