Ce mercredi 11 juillet, la Picharlerié a été expulsée et
totalement rasée. Depuis de nombreuses années, combien de personnes de Lyon, du coin ou d’ailleurs ont passé de temps, de sueur et d’amour à retaper et à faire s’épanouir ce hameau en ruines à l’abandon dans les Cévennes ? Qui sont les casseurs ? Qui sont les voleurs ? Dans quelle effrayante société sommes-nous ?
Au nom de la soi-disant propriété, elle préfère fabriquer des déserts de mort, plutôt que ne revivent des endroits laissés à l’abandon... Photos du désastre

Se loger de façon collective autogérée, c’est une vieille idée qui fait son chemin actuellement, voire qui prend de l’ampleur. A Lyon, une rencontre a eu lieu le 5 juillet au Ciné-Duchère avec un public nombreux qui a exprimé son envie de s’engager en vivant en habitat groupé.

C’est avec beaucoup de tristesse qu’on apprend l’expulsion de cette merveilleuse maison dans la verdure grouillant d’activités, de projets et de gens adorables. Voir : A Grenoble, la masure Ka jusqu’au bout de ses rêves d’hiver... (sur Indymedia Grenoble)

Fatigué que votre rue soit vivante et abrite des lieux d’habitation et d’activités (restreintes certes mais activités quand même), vous rêvez de donner un coup de clean à votre quartier ? La rue Montesquieu a pu réaliser cette prouesse mercredi 6 juin. Et le résultat est saisissant.

Nous faisons suivre la triste annonce de l’expulsion du Toboggan, autre
squat dijonnais, alors que la mairie vient de céder sur l’espace
autogéré « Les Tanneries », elle s’en prend, revencharde, à des amis et envoie les flics pour les expulser. Continuons cependant à oeuvrer pour que les maisons vides revivent !

L’Espace autogéré des Tanneries à Dijon vient de remporter une première victoire, et vous invite à venir fêter ça les 9 et 10 juin.
D’ici là, voici un récit des récents évènements, suivi d’un court bilan (lire la suite...)

L’espace autogéré des Tanneries lance un appel à tou-te-s pour soutenir leur lutte face à la mairie de Dijon et la générale de santé.

A Toulouse, la Chapelle, lieu occupé et autogéré depuis bientôt 14 ans par des associations est menacée par l’archevêché, toujours propriétaire, la mairie et une association lyonnaise du nom de « Habitat & Humanisme » dirigée par le « nouvel abbé Pierre ».

Nous vous invitons à soutenir ces lieux importants pour les habitants du quartier et de Lyon dès ce mardi 20 mars par des semaines de résistances actives. Le soutien continue ! Ouverture du Kawah chaque jour de 17h à 19h et repas gratuit chaque mercredi à midi.

Le squat de La Tour à Genève est dans une situation difficile. C’est un squat d’habitation, de concerts, de rencontres et où se situe aussi l’infokiosque de Genève.
Dernières nouvelles... sur Indymedia-Suisse

Après 14 mois d’occupation, ça commence à sentir le potimmaron cramé pour le squat La Masure Ka. Le très sérieux personnel du Domaine de l’Etat, (propriétaire des lieux), ayant finalement réussi à retrouver tous ses papiers, a obtenu l’aval de la Justice pour chasser les « méchant-es occupant-es ». Désireux de vendre au plus offrant, il fera donc envoyer quelques fourgons de police un beau matin à partir du 18 mars ( juste après la fin de la trêve d’hiver), afin de rendre ce lieu à sa mornitude d’antan. (sur Indymedia-Grenoble)

Les déboulonneurs vous invitent à une nouvelle action de barbouillage sur Lyon, samedi 27 janvier à 11h.

Izmir n’existe plus, mais la Pinaille est ouverte. Venez les soutenir et les rencontrer lors du resto végétarien du samedi midi, par exemple le 20 janvier, c’est au 49, avenue de Rochetaillée. (sur le site d’infos alternatives de St Étienne : le Numéro Zéro)

Samedi 23 décembre, Vélorution, manifestation cycliste mensuelle roulera dans la ville afin d’inviter le public à faire le plus beau des cadeaux : un meilleur futur, un futur sans voiture. Départ à 15h devant l’Opéra.

Ce squat genevois occupé depuis huit ans allait devenir un centre social autonome.

A Toulouse, le squat le Clandé, qui existe depuis au moins neuf ans, résiste depuis jeudi 26 octobre à l’expulsion. Ce squat toulousain qui avait pris racine en plein coeur de cette ville que l’on disait rose a été expulsé, avant d’être réoccupé par 200 personnes quelques heures plus tard. Ainsi, la Ligue Contre le Cancer esperait récupérer son bien - honteusement acquis – par la violence au bénéfice de promoteurs immobiliers. (Mis à jour le 7/11/06)