Contre le racisme, les violences policières, la hogra, la chasse aux migrant-e-s
Meeting le dimanche 26 février à Lyon
Maison des Passages 44 rue Saint Georges, 69005 Lyon
Métro D Arrêt Vieux Lyon
Avec la participation de Omar Slaouti, Ramata Dieng, Adama Sidibe, Nacira Guenif Souilamas, Julien Salingue, Georges Gumpel, Sonia Moussawi,...
Programme du meeting du 26 fev à Lyon
14h30 inauguration de l’événement Par Omar Slaouti du collectif Ali Ziri et Ramata Dieng du collectif vies volées.
15h00 Une première scène sur le thème des répressions en national avec :
Nacira Guénif Souleimani sociologue et anthropologue professeur à l’université Paris-VIII, sur la thématique de la gestion coloniale des populations d’origines postcoloniales
Tammouz Al Douri, CCIF Lyon, sur la thématique de l’islamophobie en France
Sonia Moussaoui, FUIQP St Etienne, sur la thématique des luttes des Quartiers Populaires
Eric Durupt, Alternative Libertaire, sur la thématique de la répression des mouvements sociaux
Julien Salingue, NPA et collectif Acrimed, sur la thématique du traitement médiatique des violences policières
16H30 Pause Espace café /Snacking/Table de presse en collaboration avec la librairie Terre des Livres
17h00 Une deuxième scène sur le thème des répressions à l’international avec :
Youssef Boussoumah, sur la thématique de la Palestine
Georges Gumpel, UJFP, sur la thématique « Israël fournisseur mondial de prestation de service dans la répression de masse »
Adama Sidibe, CEPCL, sur la thématique de la crise humanitaire des refugiés, de l’impérialisme, des guerres néocoloniales, de la France Afrique
L’appel du collectif du 19 mars :
Un par mois. C’est, en moyenne, le nombre de pères, de frères, de fils que nous perdons à cause de la brutalité des forces de l’ordre. Une brutalité qui prend plusieurs formes : des techniques de pliage qui conduisent à l’asphyxie des victimes aux coups de poings, de balles ou de Taser qui, dans les pires des cas, s’avèrent mortels.
Régulièrement depuis plus de 40 ans, les nôtres sont ainsi tués par l’État Français, aux mains de ceux que l’on appelle ironiquement les « gardiens de la paix ». Régulièrement depuis plus de 40 ans, c’est l’impunité la plus abjecte et les campagnes de criminalisation qui répondent aux mobilisations de celles et ceux qui réclament vérité et justice pour leurs morts. L’acharnement policier, judiciaire et politique contre la famille Traoré, à qui nous exprimons toute notre solidarité, en est la preuve. À chaque fois, c’est la même histoire.
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