« Pour l’État d’Israël, la principale source d’exportation vers l’Occident n’est pas faite de mandarines ou d’avocats, ni même d’armement ou de systèmes sécuritaires ; l’essentiel, c’est la promotion d’une image, celle de l’ « énergie créative » pour tout ce qui touche à la culture, les produits israéliens comme la littérature, la musique, la danse, le cinéma, l’art, la gastronomie, la science et les technologies, l’architecture etc…
Or cette vitrine culturelle, comme le prestige international de l’université israélienne, masquent une tout autre réalité : les liens entre cette université et l’institution militaire, le rôle de l’université dans la recherche de nouveaux outils de combat et de renseignement, la discrimination des étudiants palestiniens, l’absence de protestation contre les guerres menées à Gaza… »
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