Lois Sauvages est un nouveau site d’information sur les centres de rétention et les luttes de sans papierEs.
N’hésitez pas à nous proposer des articles, témoignages, infos à publier !

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Brêve de la feuille « Egalité Economique et Sociale » de décembre 2009 édité par la CGA.
SAMEDI 5 AVRIL, des dizaines de milliers de personnes défilaient dans les rues de France pour crier leur rage face à la terreur que fait régner l’Etat français sur les étranger-e-s. À Paris notamment, des flots de fumigènes ont éclairé le défilé, afin de marquer un soutien à Ivan et Bruno, emprisonnés depuis le 19 janvier pour avoir voulu se rendre à une manifestation devant le centre de rétention de Vincennes avec... des fumigènes.
Leur emprisonnement s’inscrit dans le contexte d’une (...)
En 2007 les prix de l’immobilier ont grimpé en moyenne
de 7% sur l’agglomération. Il y a 52 000 demandes de
logements sociaux en attente. Les pauvres peuvent toujours aller se faire voir ailleurs.
Aujourd’hui, des milliers de personnes, sont chaque année, traquées, raflées, enfermées et expulsées du territoire français. Le gouvernement orchestre une grande chasse aux sans papiers ...
La France un pays...
Après avoir expulsé un Khaled, étudiant algérien en 1re année de thèse à Lyon, vendredi 17 novembre, le gouvernement français essaye depuis vendredi 1er décembre, d’expulser une famille entière, menacée de mort au Kosovo. Au même moment un travailleur sans papier se pendait dans sa cellule, au centre de rétention à Marseille. Actuellement les sans papiers des centres de Marseille et Lyon sont en grève de la faim. Ce ne sont là que des faits parmi tant d’autres, de (...)
un petit texte sur cachan et la situation des expulsé de la société (squatteurs, sans-papiers, etc.)
L’Etat poursuit toujours plus hargneusement sa chasse aux étranger-e-s. Avec les expulsions des élèves sans papiers lancées depuis la fin de l’année scolaire, la politique d’un choix entre les bons et les mauvais immigré-e-s se poursuit. Fidèle à ses logiques éléctoralistes, la circulaire Sarkozy établit les critères d’un droit à rester en France. Or nous savons très bien que ces fameux critères sont directement relié à des préocupations économiques capitalistes et donc à la possibilité (...)
FEVRIER 1939 : 500 000 républicainEs espagnolEs prennent la route de l’exil pour la France, « accueilliEs » notamment au Perthus par les gardes mobiles et tirailleurs sénégalais (qui constituaient alors la garnison de Perpignan). Ils et elles sont parquéEs tels des bêtes dangereuses dans des camps de concentrations improvisés sur nos belles plages du Languedoc-Roussillon : les camps du mépris de l’État français, pour contenir, contrôler, surveiller ces étrangerEs indésirables.
JUILLET (...)
Déjà difficiles auparavant, les conditions d’accès des « étranger-es » sur notre territoire sont devenues presque impossibles depuis la loi Sarkozy.
Article de « La Rafale » de l’été 2006, le mensuel de la CNT Interco du Rhône, collée sur les murs lyonnais en été 2006 et qui est téléchargeable ici en format pdf.
Un pas de plus à été franchi vers le racisme d’Etat avec les propositions de Sarkozy en matière d’immigration. En qualifiant l’immigration de « subie », Sarkozy n’en est pourtant pas à ses premiers discours et effets de styles aux relents xénophobes et fascistes d’une « droite décomplexée ». Mais, derrière ces affirmations, une distinction est entérinée : Entre le-a « bon-ne » immigré-e qui doit venir docilement se faire exploiter pour un temps limité (celui ou celle que Sarkozy ou (...)
Les élections municipales étant en vue, le libéral-social sénateur maire de Lyon commence à faire le compte de l’électorat qui pourrait le reconduire dans ses fonctions.
Il y a de plus en plus d’étrangers dans le monde : Liberté de circulation, liberté d’installation ! Les anarchistes revendiquent le droit pour chacun et chacune de s’installer et de vivre où il le souhaite. En cette période de répression et de suspicion ambiante, il est bon de le rappeler. Surtout, si en France l’accélération des procédures anti-immigration se fait chaque jour plus ressentir, c’est désormais au niveau européen que l’arsenal se met en place. La situation (...)
Il est très souvent difficile d’avoir des infos sur la (sur)vie des individu-es dans des lieux clos comme les prisons, les centres de rétention administratifs ou autres institutions de ce genre qui invisibilisent certaines classes sociales qui mettent en péril le « bonheur universel ». Mais récemment (pour l’échelle temporelle du popouri) la Cimade, par le biais du Collectif 69 de soutien aux sans papiers, a fait sortir d’entre ces quatre murs (pas toujours imperméables !) la grève de la (...)
À Lyon, pour notre plus grand bonheur, il n’y a pas (encore) de douaniers qui pullulent dans la rue. Les frontières ne sont pas pour autant absentes du panorama lyonnais... Les frontières ne sont pas visibles mais peuvent être matérialisables avec, par exemple, les patrouilles de police qui traquent les populations « originaires » des pays de l’est, du Maghreb,... pour leur rappeler qu’ils et elles ne sont pas à la place où l’État voudrait les assigner.
Derrière ces uniformes se cache (...)
À l’aéroport St Exupéry, il y a un centre de rétention administrative (CRA), rouage indispensable de la machine à expulser où les indésiré-es sont stocké-es pour désormais 32 jours. En passant de 12 à 32 jours, l’augmentation de la durée en centre de rétention implique tout un programme d’agrandissement et de construction de locaux. Au niveau national, il y a actuellement 715 places en centre de rétention administrative (CRA) - il y en aura 230 de plus en 2004 et 600 en 2006 (si l’on n’y (...)
Les centres de rétention administrative (CRA) constituent un rouage essentiel du dispositif d’expulsion des personnes étrangères en situation irrégulière. Pour autant, les politiques migratoires instaurées au niveau de l’espace Schengen ne se résument pas seulement à la mise en place d’une machine à expulser : elles ont pour première conséquence de condamner les populations migrantes à la clandestinité, c’est à dire de les soumettre à un contrôle policier et à une exploitation économique (...)
Dimanche 25 avril 2004.
Par une belle matinée ensoleillée nous sortons du centre de rétention de Satolas où nous avons rendu visite à une camarade sénégalaise embastillée avec ses deux enfants de 4 et 6 ans, d’ailleurs nés sur le sol français (la présence d’enfants au centre de rétention est de plus en plus fréquente).
Nous rencontrons alors monsieur XYZ, assis avec sa valise sur la pelouse coincée entre les barbelés du centre de rétention et l’autoroute. Image irréelle... Monsieur XYZ (...)
C’est donc GFC construction (« des défis à relever »), filiale de Bouygues, qui s’est vue attribuer, le 22 mars 2004, le marché concernant la rénovation et l’aggrandissement du centre de rétention administrative de Lyon-St Exupéry (B.O.A.M.P 15 A, annonce n° 196, parution du 27 janvier 2004) - dont la capacité « d’accueil » doit donc passer d’environ 70 personnes retenues (ne sont jamais comptées par les autorités les mineur-e-s, de plus en plus nombreux-euses, pour qui on ajoute (...)
Le 17 avril, dans le cadre d’une journée de mobilisation contre les centres de rétention, quelques personnes certainement peu recommandable ont décidé d’aller voir comment le soleil se levait au-dessus du centre de rétention administratif de Lyon-St Exupéry (désigné par la suite par le doux nom de « CRA »). Au passage, sur les ponts surplombant des accès autoroutiers à l’aéroport et donc, au CRA, trois banderoles ont été accrochées : « ici comme ailleurs, non aux centres de rétention », « (...)
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