Le gouvernement franchit un nouveau pas dans sa stratégie de destruction de la Jungle. C’est la suite de la création d’une « zone d’exclusion » ou « no man’s land » en janvier cette année.
Nous, peuple unis de la Jungle de Calais, refusont les demandes du gouvernement Français concernant la réduction de la superficie de la Jungle.
Nous avons décidé de rester où nous sommes et résisterons pacifiquement aux plans gouvernementaux visant à détruire nos maisons.
Nous plaidons pour que les autorités Françaises et la communauté internationale comprennent notre situation et respectent nos Droits Humains Fondamentaux.
Malgré cette position combative, le « no man’s land » fut créé. Bien qu’il y eut des poches de résistance, la majorité des personnes se déplaça vers d’autres endroits de la jungle, aidés par les associations et les bénévoles. Cette fois-ci par contre, la surface a évacuer est trop grande, et la surface restante trop petite, et déjà sur peuplée, pour que cela se passe de la même manière.
>Un certain été 1996, la lutte du collectif de sans papiers de Saint-Bernard
Ce texte retrace la lutte mené par un collectif de sans-papiers pour obtenir leur régularisation via notamment l’occupation de l’église Saint-Bernard (Paris) de juillet à aout 1996. Il est tiré de l’introduction du livre Liberté pour tous avec ou sans papiers - Une lutte contre la machine à...
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