Appel des Résistants du 15 mars 2004 renouvelé aux commémorations non médiatisées du 60e anniversaire du Programme du Conseil national de la Résistance du 15 mars 1944. Et c’est aussi le 15 mars 2007, que Lucie Aubrac nous quitte.

Dans cette rubrique, on trouvera notamment les articles de l’éphéméride ou Almanach de Myrelingue dont voici la présentation.
Appel des Résistants du 15 mars 2004 renouvelé aux commémorations non médiatisées du 60e anniversaire du Programme du Conseil national de la Résistance du 15 mars 1944. Et c’est aussi le 15 mars 2007, que Lucie Aubrac nous quitte.
Nouvelle feuille de l’Almanach de Myrelingue, à propos d’un historien du mouvement social, Fenand Rude, un Lyonnais qui mérite vraiment d’être reconnu.
« La grève, lancée le 3 mars 1909, a duré trois bons mois, pendant lesquels la plus parfaite harmonie n’a cessé de régner parmi les ouvriers et ouvrières, car les femmes se sont toujours montrées les plus énergiques et les plus ardentes. On peut même dire qu’elles furent une des causes importantes de la victoire. »
Ce texte de Francis de Pressensé est issus d’une brochure publié au Éditions de la Revue blanche en 1899. Cette brochure se compose de trois texte. Le premier, reproduit ici dans sont intégralité « Notre Loi des Suspects ». Le second « Comment ont été faites les Lois Scélérates » d’un auteur inconnu et le troisième « L’application des Lois d’exception de 1893-1894 » d’Émile Pouget.
Au mois de décembre 78, le groupe Usinor veut supprimer 21.750 emplois dans les bassins de Longwy et Denain. Dans le Nord et en Lorraine, où l’on est sidérurgiste de père en fils, le gouvernement présente cette décision comme le « plan de sauvetage de l’acier ». En réaction la population se mobilise pour rester « vivre et travailler au pays ».
Ou comment la social-démocratie n’a pas stoppé le fascisme. Dans l’entre-deux guerres, l’Autriche est le seul pays où la Social-démocratie avait des armes pour s’opposer à l’extrême-droite. Elle aura été plus habile pour briser le mouvement ouvrier.
Le samedi 10 novembre 2001 : une Manif pour l’affichage libre s’oppose au « plan propreté » de Gérard Collomb et fut durement réprimée par les CRS ! Retour sur cet épisode qui marqua un des éléments de la boboïsation de Lyon et de ses rues.
Le 9 novembre 1965, une gigantesque rupture du courant électrique se produisit à New York. Mais, au lieu des scènes d’horreur que les politiciens imaginaient ce fut un immense soulagement. Ce fut presque une vacance du pouvoir ; pendant quelques heures on arriva plus près de la véritable anarchie qu’aucun de nous n’aura le bonheur de l’être jamais.
La mobilisation contre la tenue du sommet conjoint du FMI et de la Banque Mondiale fut un grand moment de mobilisation. En tout cas, Strauss-Kahn a refusé de le comprendre...
Olt nous présente en BD la vie de l’anarchiste mexicain Ricardo Flores Magon, né le 16 septembre 1874 à San Antonio Eloxochitlán (Oaxaca) et assassiné le 21 novembre 1922 au pénitencier de Leavenworth (Kansas, États-Unis). Précurseur de la Révolution mexicaine, son mot d’ordre était « Tierra y Libertad ».
Si l’insurrection spartakiste de Berlin est maintenant connue, les révolutions - car on peut employer le pluriel en raison de leur manque de coordination - qui agitèrent le reste de l’Allemagne le sont moins. Parmi elles, la République des conseils de Bavière, proclamée le 7 avril 1919, fut l’une des plus radicales.
Le Centre de Documentation Libertaire de Lyon propose cet article, paru originellement dans le fanzine punk Nycthémère n°3, qui nous éclaire sur comment les autorités de l’époque montraient leur hostilité aux idées anarchistes et antimilitaristes.
A Lyon comme ailleurs, pour les jeunes squatteurs et pour les familles sans papiers, il faut lutter pour habiter et habiter pour lutter. « Nid de Coucous », documentaire de 2012, raconte l’histoire de ces indésirables et de ces sans voix, qui à l’échelle d’un immeuble ou à l’échelle d’un pays, occupent et résistent dans des lieux où ils ne sont pas les bienvenus.
Charlie Bauer a cassé sa pipe dimanche 7 août 2011. Fait chier. Un petit docu, « Charlie Bauer, Marathonien de l’Espoir » lui avait été consacré il y a quelques années, l’occasion de revenir sur son parcours entre banditisme et révolution.
Repose en Guerre Camarade !
Le 7 août 1900, paraît, à Mexico le premier numéro de Regeneración, hebdomadaire qui sera publié successivement dans cette capitale (de 1900 à 1901) et aux États-Unis (San Antonio, Texas, 1904-1905, Saint Louis, Missouri, 1905-1906, Los Angeles, Californie, 1910-1918) et jouera un rôle majeur dans la chute de la dictature de Porfirio Díaz.
Le mercredi 2 août 2006, le grand résistant français Maurice Kriegel Valrimont s’est éteint à Paris à l’âge de 92 ans. Toute sa vie, il a voulu changer le monde, avec succès assez souvent. À Lyon, Maurice prend le nom de Valrimont, et réussi, avec d’autres, à organiser l’unité des mouvements de résistance et à former toute une armée secrète... jusquà la Libération. Mais son énorme énergie constructive et son engagement antifasciste, antistaliniste, anticolonialiste continueront ensuite sereinement jusqu’à son dernier souffle.
Les caisses de solidarité ne datent pas d’hier, ni d’avant-hier. Déjà, en 1882, les anarchistes lyonnais avaient créé une commission de répartition des secours aux condamnés politiques. Laurent Gallet nous décrit ici son fonctionnement.
Le 30 juillet 1830, Joseph Benoît crie « Vive la liberté ! vive la république » face aux baïonnettes et aux canons braqués sur la foule des canuts de la Guille, dans laquelle il est présent, il a 17 ans...
Antimilitariste, libertaire, elle a milité toute sa rude vie pour ce coin de bonheur dans les montagnes briançonnaises où elle aimait donner le goût d’apprendre et aussi accueillir.
« C’est pareil pour toutes choses, ce qui paraît irréalisable pour
l’heure sera une réalité demain. »
L’internationale, poème d’Eugène Pottier, écrit en juin 1871 pendant la terrible répression de la Commune de Paris. Il ne fut publié qu’en 1887 et chanté pour la première fois le 23 juillet 1888 à Lille par la Lyre des Travailleurs. Devenu l’hymne des révolutionnaires, il sera complètement illégal durant des années dans de nombreux pays d’Europe. Ce chant de révolte fut également porté par une musique désormais bien connue…, composée par Pierre Degeyter, en 1888. Apprenons donc l’ensemble des couplets...
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