C’est une bien curieuse société dans laquelle nous « vivons ». Une société qui se sait absolument détestable et périssable. Une société qui n’a plus rien à proposer si ce n’est de sauver les meubles ou ce qu’il en reste : sauver les emplois, l’économie en crise, la planète. Derrière l’apparente abondance des « projets politiques » et autres « promesses » venant du champ politique traditionnel se cache le chantage à la politique du « moindre mal » : nous gérons comme nous pouvons, disent les dirigeants de tout poil, si nous n’étions pas là, ce serait l’extrémisme, le chaos, la guerre civile. (En guise d’introduction).
La suite, les brèves de septembre 2011 à janvier 2012 :
Police partout Des flics partout, à toute heure du jour ou de la nuit. Qui patrouillent, contrôlent et font les chauds. Et qui parfois aussi se plaignent, se font mettre à l’amende. Petit tour d’horizon de la condition policière. →
En lutte Profs, cheminots, postiers, putes, pompiers, travailleurs sans-papiers. Les luttes se croisent sans jamais trop se rencontrer. Mais sont autant d’occasions d’organisation avec ses semblables. →
Lyon Métropole Des caméras aux derniers changements concernant les Hôpitaux Psychiatriques : dernières avancées des dispositifs de contrôle métropolitains. →
Temps de crise "La Crise". Une aubaine patronale pour reconfigurer l’économie, flexibiliser et licencier sans vergogne ; mais aussi une opportunité pour tous les perdants de la guerre économique d’inventer des combines et de s’organiser avec d’autres pour s’affranchir des patrons. →
Guerre sociale Où l’on voit bien que derrière la tranquillité apparente des centre-villes se jouent des conflits sans merci. →