Rencontre ce samedi 22 octobre, au 44 rue St Georges, avec l’Observatoire des Libertés, le réseau Résistons Ensemble et l’association Témoins pour rendre publics des témoignages de violences policières, des vidéos, et réfléchir comment y résister.

L’appel du chanteur basque sera examiné le vendredi 14 octobre. Un comité de soutien rhône-alpin se constitue.

Message du 6 octobre de l’un des inculpés.

Le chanteur basque Peio Serbielle s’est vu notifier la prolongation de son incarcération ce jeudi 29 septembre 2005.

Un appel du Cirdel (Centre d’Initiative et de Réflexion pour la Défense des Libertés) pour épauler Madame Brunetti qui passe devant les juges de Lyon pour « outrage et résistance ».

La pénitentiaire est agitée par un bug de la loi Perben 2 qui permet des remises de peines cumulées.

Pour exiger la libération des quatre marins de la SNCM et l’arrêt des poursuites, une initiative de soutien est prévue vendredi à 18 heures du Pont Lafeuillée (Pêcherie).

Cet article du 29 septembre sentait les choses de façon très claire puisque c’est bien ce qui se passe dans les quartiers actuellement !

Un appel du « Comité vérité et justice pour Gênes » : les victimes (et leurs proches) des 45 personnes inculpées pour leurs exactions contre les manifestants du contre-sommet du G8 de 2001 à Gênes peuvent encore se porter partie-civile. Jusqu’au 12 octobre 2005, date de début du procès.

Après le concert de soutien de Livron dans la Drôme, celui de Biarritz a eu lieu le 24 septembre.
Mais que fait donc la juge anti-terroriste ?

Communiqué du Collectif de soutien aux inculpé-es du 30 avril.

Le fait d’ouvrir sa porte devient-il un délit dans la France de 2005 ? Le chanteur basque Peio Serbielle est embastillé en France depuis le 3 octobre 2004 sous le motif de « délit d’hospitalité ». Un concert de soutien a eu lieu le samedi 17 septembre à Livron (26)
Une conférence de presse s’est tenue à Lyon, avec la famille de Peio et le comité de soutien, le vendredi 16 septembre à 11 h, au local de la LDH, 5 place Bellecour.

Des centaines de prisonniers libérables à cause d’une erreur dans la publication au Journal Officiel (JO) d’un décret d’application de la loi Perben 2.

A Villeurbanne, la police tente, de nouveau, d’expulser illégalement des sans logis !

Ceux-ci ont été interpellés lors de la manif du 2 juillet.

Rebellyon a longuement relaté les évènements lors de la manifestive du 30 avril et les procès qui en ont découlé (voir Procès des inculpé-es de la manifestive du 30 avril). Or, nous venons d’apprendre que les parties civiles, c’est à dire les policiers, font appel des relaxes de Virginie, Luis et Christian, prononcées par le TGI de Lyon les 6 et 8 juillet derniers.

Ce vendredi 8 juillet, tous les deux ont aussi été relaxés, tout
comme Virginie le 6 juillet et les policiers sont déboutés. Luis et Christian avaient été interpellés le soir du 30 avril place St Paul.

Ce 6 juillet fut un procès d’anthologie. Il est quand même rare de voir des policiers de la BAC se faire humilier de la sorte, aussi bien par les magistrats que par le procureur, tout à fait à juste titre devant autant d’incohérences et d’acharnement bestial. Il est rare d’entendre dire par magistrats et procureur que
des policiers sont des menteurs.

Perquisition chez un animateur de ce site grenoblois suite à la fabuleuse histoire du faux Métroscope, journal grenoblois. PMO était intervenu à Lyon dans le cadre des Résistances.

A l’audience du 6 juillet, relaxe totale pour Virginie, interpellée Place des Terreaux lors de la Manifestive du 30 avril.