Trop de travailleurs.euses sont exposé.e.s inutilement et sacrifié.e.s au nom de l’intérêt économique. Les mesures d’urgence sociales sont largement insuffisantes mais la sphère publique va encore soutenir à bout de bras l’économie capitaliste. Alors que la gestion sanitaire de la crise laisse à désirer, le gouvernement ne trouve rien de plus urgent à faire que d’attaquer le droit du travail... C’est inacceptable ! Les travailleurs.euses encore en activité gardent leur pouvoir de blocage économique et il faudra aussi solder les comptes après le confinement… Ne nous laissons pas faire : organisons nous !
