Les rouages qui nous enferment. Les dogmes qui tournent en rond. Les pratiques indiscutables. Les schéma de pensée qui font autorité. Les radicalités auto-satisfaites. Les intransigeances mal-placées. Le flicage constant des un-es et des autres...
Les rouages qui nous enferment. Les dogmes qui tournent en rond. Les pratiques indiscutables. Les schéma de pensée qui font autorité. Les radicalités auto-satisfaites. Les intransigeances mal-placées. Le flicage constant des un-es et des autres...
« Lutter de manière révolutionnaire sur tous les fronts » : tel était le mot d’ordre de bell hooks tandis qu’on annonçait, il y a près de trente ans, « la fin de l’Histoire » et le triomphe planétaire du libéralisme. Née dans le Kentucky au sein d’une famille afro-américaine de la classe ouvrière, celle qui a emprunté son nom de plume à sa grand-mère publia son premier ouvrage — de poésie — en 1978. Depuis, comme enseignante, militante et essayiste, bell hooks s’échine à penser la multiplicité des oppressions à l’œuvre dans nos sociétés. C’est donc en « partisane du socialisme démocratique » qu’elle s’avance et invite à démanteler le racisme, le patriarcat et le mode de production capitaliste. « Ne regardons pas ces choses séparément. Regardons comment elles convergent. » Une porte d’entrée en vingt-six lettres.
Appel à contribution pour un futur zine sur les agressions physiques et/ou sexuelles et le travail du sexe
Salut ! Depuis quelques temps déjà, l’idée de faire des zines en non-mixité travailleu·r·se du sexe me traverse. Ceci est le premier appel que je lance. Il y en aura sûrement d’autres sur d’autres thèmes.
Ce mois-ci, les Camardes de Renversé s’intéressent à la famille et proposent un dossier à ce sujet. Le 5e article de la série est un extrait de l’introduction du livre “Le genre du capital” par Céline Bessière, Sibylle Gollac. On y découvre que la famille est un espace qui favorise l’appropriation masculine du capital. Les autrices mettent en lumière les mécanismes qui permettent aux inégalités patrimoniales entre hommes et femmes de perdurer, de génération en génération.
Chaque année, nous comptons nos mort-es suicidé-es, assassiné-es, silencié-es par féminicides, crimes racistes, transphobes, queerphobes et putophobes.
Le 31 octobre 2020, à l’occasion de Samhain, un moment suspendu entre la vie et la mort, entre le jour et la nuit, nous avons voulu célébrer nos mort-es dans un squat queer féministe antiraciste du Far Far East.
Le 31 octobre 2020, à l’occasion de Samhain, un moment suspendu entre la vie et la mort, entre le jour et la nuit, nous avons voulu célébrer nos mort-es à la Pigeonne, le squat queer féministe antiraciste de Strasbourg.
Iels n’auront pas notre tristesse. Transformons nos deuils en force et nos rages en puissances. Nous avons lu et diffusé les réponses à notre appel à créations militantes, fictives, poétiques. Ces textes ou sons célébrent de manière politique nos mort-es assassiné-es ou suicidé-es, victimes du sexisme, du racisme, de la transphobie et de la transmysogynie, de la putophobie et de la queerphobie.
Chaque année, nous comptons nos mort-es suicidé-es, assassiné-es, silencié-es par féminicides, crimes racistes, transphobes, queerphobes et putophobes. Chaque année, nous comptons nos mort-es suicidé-es, assassiné-es, silencié-es par féminicides, crimes racistes, transphobes, queerphobes et putophobes. Envoyez vos texte avant ce soir.
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