Pendant tout le week-end du 24 au 26 juin, une radio pirate féministe émettra en direct du festival de la Poudrière pour en partager les vibrations.

Pendant tout le week-end du 24 au 26 juin, une radio pirate féministe émettra en direct du festival de la Poudrière pour en partager les vibrations.
Tous les deux lundis, l’Actu des Oublié.e.s évoque les luttes dans le monde. Cette semaine, la deuxième partie de l’épisode consacré aux mouvements pour l’abolition de la police.
Le nom, Yuval Harari, ne vous dit rien, mais la couverture vous est familière. Sapiens, en lettres rouges sur fond beige. Il se glisse partout. Dans toutes les vitrines. Peut-être avez-vous vu passer les deux tomes suivants, Homo Deus et 21 propositions pour le XXIe siècle en librairie, au Relay, à la Fnac, et même dans les librairies de gauche. Ah oui, vous en avez vaguement entendu parler. Ou bien, on vous l’a offert à Noël. Ou bien, vous vous êtes procuré la BD par curiosité. Mieux, votre père le rabâche aux dîners de famille. Plusieurs ami.es l’encensent carrément. Voire, c’est le livre de philosophie préféré d’une personne que vous connaissez.
Il y a deux ans, du 24 février au 1er mars 2020, avait lieu à Bure une farandole féministe et antinucléaire. Un moment marquant de la lutte à Bure sur lequel le podcast « Meuse Joyeuse » propose de revenir.
Le texte ci-dessous est écrit par des féministes russes souhaitant rester anonymes pour des raisons de sécurité, qui se sont regroupées pour s’opposer à l’invasion de l’Ukraine. Le féminisme a, jusqu’à aujourd’hui, relativement échappé aux vagues de répression du régime russe. Le féminisme est donc, dans la Russie contemporaines, l’un des rares mouvements d’opposition encore florissant.
Les rouages qui nous enferment. Les dogmes qui tournent en rond. Les pratiques indiscutables. Les schéma de pensée qui font autorité. Les radicalités auto-satisfaites. Les intransigeances mal-placées. Le flicage constant des un-es et des autres...
« Lutter de manière révolutionnaire sur tous les fronts » : tel était le mot d’ordre de bell hooks tandis qu’on annonçait, il y a près de trente ans, « la fin de l’Histoire » et le triomphe planétaire du libéralisme. Née dans le Kentucky au sein d’une famille afro-américaine de la classe ouvrière, celle qui a emprunté son nom de plume à sa grand-mère publia son premier ouvrage — de poésie — en 1978. Depuis, comme enseignante, militante et essayiste, bell hooks s’échine à penser la multiplicité des oppressions à l’œuvre dans nos sociétés. C’est donc en « partisane du socialisme démocratique » qu’elle s’avance et invite à démanteler le racisme, le patriarcat et le mode de production capitaliste. « Ne regardons pas ces choses séparément. Regardons comment elles convergent. » Une porte d’entrée en vingt-six lettres.
Les « réunions non mixtes » suscitent tollés et volées de bois vert ou bien compréhensions et encouragements. Pourquoi est-ce si clivant ? À Synthé quels sont les espaces non mixtes et que proposent-ils ? Une plongée dans la futaie épaisse des affirmations et des contradictions sur la non-mixité, ou mixité choisie, par le Couac (article paru au printemps 2021).
Pétille, c’est un réseau en mixité choisie Meufs, Trans, Pédés, Gouines, Intersexués, et + (MTPGI+) autour des métiers et savoir faire techniques :
bâtiment, artisanat, industrie, agriculture...
Alors que les politiques et la préfecture du Rhône s’offusquent de cet énoncé somme tout assez basique, et que l’élue lyonnaise, ayant osé affirmer cela, rétropédale sous la pression, le collectif « Désarmons-les » publie une analyse détaillée de la culture du viol dans la police.
Appel à contribution pour un futur zine sur les agressions physiques et/ou sexuelles et le travail du sexe
Salut ! Depuis quelques temps déjà, l’idée de faire des zines en non-mixité travailleu·r·se du sexe me traverse. Ceci est le premier appel que je lance. Il y en aura sûrement d’autres sur d’autres thèmes.
Ce mois-ci, les Camardes de Renversé s’intéressent à la famille et proposent un dossier à ce sujet. Le 5e article de la série est un extrait de l’introduction du livre “Le genre du capital” par Céline Bessière, Sibylle Gollac. On y découvre que la famille est un espace qui favorise l’appropriation masculine du capital. Les autrices mettent en lumière les mécanismes qui permettent aux inégalités patrimoniales entre hommes et femmes de perdurer, de génération en génération.
Le 31 octobre 2020, à l’occasion de Samhain, un moment suspendu entre la vie et la mort, entre le jour et la nuit, nous avons voulu célébrer nos mort-es à la Pigeonne, le squat queer féministe antiraciste de Strasbourg.
Iels n’auront pas notre tristesse. Transformons nos deuils en force et nos rages en puissances. Nous avons lu et diffusé les réponses à notre appel à créations militantes, fictives, poétiques. Ces textes ou sons célébrent de manière politique nos mort-es assassiné-es ou suicidé-es, victimes du sexisme, du racisme, de la transphobie et de la transmysogynie, de la putophobie et de la queerphobie.
À l’heure où les luttes féministes rassemblent un nombre incalculable de femmes en France, où sommes-nous pour défendre la révolution du Rojava ? Les femmes du Rojava appellent à prendre position contre le fascisme. Nos luttes ont beaucoup à apprendre des leurs pour faire du féminisme un projet de transformation sociale radical.
Les manifestations se succèdent depuis une semaine pour faire reculer le gouvernement après la délégalisation quasi totale de l’avortement en Pologne.
Chaque année, nous comptons nos mort-es suicidé-es, assassiné-es, silencié-es par féminicides, crimes racistes, transphobes, queerphobes et putophobes. Chaque année, nous comptons nos mort-es suicidé-es, assassiné-es, silencié-es par féminicides, crimes racistes, transphobes, queerphobes et putophobes. Envoyez vos texte avant ce soir.
Texte d’appel à soutien et solidarité pour Jennifer, une femme trans’ incarcérée à la maison d’arrêt de Toulouse-Seysses depuis fin juin 2020.
Gendarmes demandant à des femmes de remettre leurs hauts de maillot de bain sur la plage, interdiction d’entrée au musée d’Orsay à cause d’un décolleté, affaire des lycéennes sommées d’aller se rhabiller et ministre Blanquer les enjoignant de se vêtir « normalement » ou de façon « républicaine »… Ces dernières semaines auront été marquées par une multiplication d’injonctions aux fondements sexistes. Communiqué de la fédération Solidaires
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