Le mouvement dit « anti-CPE » à Lyon, raconté par un-e participant-e à partir des articles de Rebellyon.
3e partie : du 28 mars au 3 avril 2006. Retrouvez la 2e partie ici.

« comparution immédiate »
Le mouvement dit « anti-CPE » à Lyon, raconté par un-e participant-e à partir des articles de Rebellyon.
3e partie : du 28 mars au 3 avril 2006. Retrouvez la 2e partie ici.
Une vingtaine de gilets jaunes sont venus soutenir leur ami Marcel [1] au Tribunal de Grand Instance. Récit d’un procès rarissime où la justice a été contrainte de relaxer un manifestant.
Communiqué des Faucheurs volontaire de la Loire et du Rhöne, à la suite du fauchage d’une parcelle à Grézet-Cavagnan (47) où 3 militants ont été arrêtés, gardés à vue avant leur passage en comparution immédiate lundi 4 septembre. Le procès est reporté et entre temps, ils sont assignés à résidence.
« Ils ont transformé cette ville en zone de guerre ». C’est ainsi que la procureur du tribunal de grand instance de Lyon justifiait les interpellations et les jugements de plus d’une vingtaine de personnes suite aux débordements du 15 juillet. Retour sur une journée de procès où la justice lyonnaise, de plus en plus décomplexée, n’hésite plus à demander des peines de prison ferme avec mandat de dépôt pour de simples vols de maillot de foot’.
Samedi 11 février, au moins 4 personnes ont été arrêtées par la police pendant la manif contre les retraites.
Aujourd’hui l’un·e d’entre eux passera en comparution immédiate au tribunal judiciaire (67 rue Servient dans le 3e) à 14 heures.
Au terme de nombreuses audiences de la quatrième chambre correctionnelle de la cour d’appel de Lyon (celle qui est restée célèbre pour son extrême sévérité depuis le passage de Finidori), voici une série de compte-rendus. Ces affaires ne concernent que des personnes majeures et sont surtout liées aux manifs d’octobre.
Ces compte-rendus présentés ici concernent particulièrement des jeunes, souvent lycéens, majeurs ayant participé au mouvement d’octobre à Lyon que l’on a voulu effrayés, traumatisés, criminalisés. Après le passage sous les 24 Colonnes de la Cour d’appel, les peines ont été lourdement aggravées : sur 180 mois environ qui sont tombés (soit 15 ans), 96 mois sont de la prison ferme, soit 8 ans de prison… répartis sur environ 25 personnes. Les peines vont de 2 mois avec sursis à 1 an ferme.
Retour sur la vingtaine d’arrestations en France suite à la manifestation du 22 février 2014 qui se tenait à Nantes contre l’aéroport de Notre-Dame de Landes, et qui a rassemblé plus de 50,000 personnes. Suivi de quelques conseils en cas d’interpellation.
Récit de comparution immédiate du 6/03/2007 au tribunal de Lyon.
Récit d’une comparution immédiate de ce mardi 2 mai au TGI (Tribunal de Grande Instance) de Lyon.
Dans l’État français de Sarkozy, le vendredi 24 août 2007, Sherazade est déportée en cachette avec ses enfants sans son mari, tandis que Sabina est jetée à Montluc et sa fille de 2 ans mise à la DDASS ! Elle a été libérée lundi 27 août au soir. (Lire la suite)
Rendez-vous jeudi 30 avril, à 7h sur les deux campus de Lyon-2 pour les bloquer, à 11h à Lyon-2-Quais pour l’Assemblée Générale étudiante et à 15h à Lyon-2-Bron pour la même chose. Il y sera notamment question du blocage de l’université.
Enfin, rendez-vous toutes et tous vendredi 1er mai pour la manifestation interprofessionnelle, à 10h, arrêt de métro Debourg (ligne B). Soyez masqué-e-s !
Ce lundi le procureur de la chambre des comparutions immédiates a requis deux fois des peines planchers sur 4 affaires. Notamment pour Yacine, toxico qui a essayé de voler un portefeuille et dont l’audience a été torchée en 16 minutes par le Tribunal.
Après 6 mois de mouvement Gilets jaunes, voici un point sur l’activité de la Caisse de Solidarité en lien avec la « Commission Justice Gilets Jaunes »
Les comparutions immédiates du Tribunal de Lyon c’est la justice pour les pauvres, à la chaîne, ultra sévère et bancale, un front de la guerre sociale où les pauvres, les étrangers, les isolés se font massacrer par des notables en hermine.
Samir a été arrêté il y a trois ans et demi, en décembre 2008, au cours d’une manifestation lycéenne. Seul manifestant à être placé en détention pour avoir, avec d’autres, retourné une voiture sur la chaussée, il prend 8 mois en comparution immédiate. Depuis, à chaque fois qu’il approche de la fin de sa peine, par hasard évidemment, il est à nouveau condamné pour des embrouilles avec les surveillants. Sa peine a ainsi été rallongée de 12 mois dans un premier temps, puis de 14, et encore de 12 en janvier 2012 !
Au bout 40 mois, Samir est aujourd’hui incarcéré à Bourg-en-Bresse et ne devrait sortir, au mieux, qu’en janvier 2013 ! Voici un récapitulatif de sa situation. Des proches appellent à à sa libération et à un grand rassemblement le 6 juin à 14h devant le Tribunal de Grande Instance de Lyon ! N’ajoutons pas le silence à l’infamie. N’oublions pas Samir !
■ Pas de justice
1er juillet : caillassage de plusieurs véhicules de police avenue Jean Cagne à Vénissieux. Un môme est ramassé au hasard. Dans le doute le juge lui colle deux mois avec sursis. Le 6 juillet un jeune de 18 ans qui a le malheur d’avoir « déjà eu affaire avec la justice » prend un an ferme et un an de sursis pour avoir pété les vitres et tordus les volets d’une école primaire à Saint Quentin Fallavier. Le 7 juillet : un adolescent de 14 ans est interpellé pour avoir (...)
Les indemnités à payer par les prévenus sont de véritables compléments de salaire pour certains flics ou agents TCL. Les flics et leurs avocats invoquent régulièrement les insultes ou les coups pour demander des sommes d’argent importantes aux prévenus pendant les comparutions immédiates.
Une comparution immédiate du mercredi 5 septembre au palais de justice de
Lyon.
Suite à l’inculpation de sept antifascistes lyonnais le 23 septembre dernier, une tribune vient d’être publié sur Médiapart pour dénoncer la justice d’exception dont sont victimes nos camarades !
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