Deux prévenus gilets jaunes passaient ce lundi en comparution immédiate. Deux mineurs (dont un de 13 ans), arrêtés en fin de journée, ont été relâché dimanche et seront jugés plus tard après un suivi socio-judicaire.

« comparution immédiate »
Deux prévenus gilets jaunes passaient ce lundi en comparution immédiate. Deux mineurs (dont un de 13 ans), arrêtés en fin de journée, ont été relâché dimanche et seront jugés plus tard après un suivi socio-judicaire.
Pour la journée d’action interprofessionnelle du 19 mars 2009, des manifestations réunissant plus de trois millions de personnes ont été organisées dans plus de 250 villes de France. A plusieurs reprises, certains cortèges dans plusieurs de ces manifestations ont eu à faire avec la police.
Brève « Police partout », de septembre 2011 à janvier 2012. Des flics partout, à tout heure du jour ou de la nuit. Qui patrouillent, contrôlent et font les chauds. Et qui parfois aussi se plaignent, se font mettre à l’amende. Petit tour d’horizon de la condition policière.
Incarcérée depuis novembre 2012, Christine purge plusieurs peines écopées ces dernières années suite à de multiples insoumissions à l’autorité de différentes institutions (flics, administration pénitentiaire, institution psychiatrique,...). Du mitard au quartier d’isolement, de commissions disciplinaires en procès, Christine ne faiblis pas et face à elle l’Administration Pénitentiaire et la justice essaient toujours plus de la broyer.
Cela se passe à Lyon et c’est jugé en comparution immédiate, salle G du nouveau palais de justice, à la 14e chambre (et non pas en appel !), le 30 octobre 2006.
Comparution immédiate du 27 novembre au tribunal de Lyon.
Après un mois de mars chargé en luttes, la mobilisation ne faiblit pas en avril. Principaux rendez-vous, articles sur le mouvement, infos urgentes et suivi.
Prochains rendez-vous :
dimanche 1er mai : manifestation du 1er mai départ Jean Macé 10H30
Tous les jours à 18h : Nuit Debout place Guichard
samedi 30 avril :
17h : Réveillon du 1er mai SOLIDAIRES à Lyon avant la manifestation
Suivi de la journée du 28 avril ici
Suivi du mouvement : dernière mise à jour vendredi 29 avril à 23h
Après deux mois de lutte et de bouleversements en tout genre, le mouvement contre la loi El Khomri n’a pas l’air de vouloir s’arrêter. Les manifs continuent et des blocages économiques se mettent en place (raffinerie, SNCF, piquets volants...). Rien n’est donc fini. Malgré cela, au vu des affrontements récurrents entre policiers et manifestants et du nombre d’interpellations depuis le mois de mars, un bilan des opérations répressives doit être dressé. C’est l’objet de ce texte de la Caisse de Solidarité
Bulletin numéro 164, juin-juillet 2017, du réseau Résistons Ensemble. Formé en 2002, Résistons Ensemble a pour but d’informer, de briser l’isolement des victimes des violences policières et sécuritaires et de contribuer à leur auto organisation.
La préfecture annonce une soixantaine d’arrestations en deux jours à Lyon (jeudi et vendredi). Certaines des personnes arrêtées passeront au tribunal ce lundi. (mise à jour)
Ce samedi 30 avril, la manifestive contre les frontières qui sillonnait les rues lyonnaises a soudain pris un tour sanglant et répressif place des Terreaux, suite à une action commando des cowboys de la BAC :
récit de la manif et de la répression.
6 personnes sont passées en comparution immédiate lundi 2 mai : compte-rendu de la parodie de justice.
Pendant ce temps-là, un journaleux du Progrès, J.D. Dhéry, ment et couvre servilement les bavures policières. Mais les lecteurs et lectrices de Rebellyon, également contributeurs et contributrices, veillent et par deux fois démontent au burin les petits mensonges en série du gratte-papier :
De la déontologie au Progrès.
Réponse aux calomnies du Progrès.
La réaction s’organise pour riposter et soutenir nos amiEs poursuiviEs et embastilléEs : 4 personnes sont aujourd’hui en prison pour avoir participé à la manifestive contre les frontières.
Pour leur défense juridique, Témoins collecte les témoignages en vue des procès sur le fond qui auront lieu les 25 et 26 mai (mail : temoinslyon arobase free.fr).
Enfin, les messages de soutien sont les bienvenus en attendant les actions de solidarité.
La manifestive avait pourtant bien commencé : quelques photos.
Communiqués :
Lettre ouverte à la rédaction du Progrès de l’Union Départementale 69 de la CNT.
Une fois de plus, ce sont les précaires qu’on enferme ! ; Communiqué d’AC ! Rhône
Communiqué CNT contre la répression de la manifestive
Communiqué de l’Union de groupes anarchistes Lyonnais à propos de la manifestive
Pour d’autres réponses merci d’utiliser le Forum post-manifestive de cet article Cowboys de la BAC contre manifestive : hyperviolence, Täser, arrestations, procès et emprisonnements...
En Kanaky (Nouvelle-Calédonie) toujours colonisée par la France de Sarkozy, on emprisonne les syndicalistes et le leader de l’USTKE, d’origine lyonnaise.
Chômage, répression syndicale et policière, mépris, sont le quotidien du peuple Kanak.
Cette article retrace les origines des conflits qui agitent la Kanaky depuis de longs mois dans l’indifférence générale.
Récit par le Collectif de soutien du 30 avril : six personnes ont été inculpées et quatre ont été emprisonnées suite à la répression sans précédent d’une manifestation sur Lyon.
Si les étudiant.es s’en sortent relativement bien lorsqu’ils et elles comparaissent au tribunal, c’est une autre histoire lorsqu’il s’agit des sans-culottes ou des précaires des quartiers populaires. Résumé de l’après-midi du 26 novembre 2007 passé au tribunal de Lyon. Édifiant !
■ Le 26 janvier, les pompiers sont intervenus pour éteindre deux incendies dans l’enceinte de l’Etablissement Pénitentiaire pour Mineurs de Meyzieu.
Une intervention « dans une ambiance extrêmement tendue » et sous la protection de deux équipages de la BAC et de la police nationale. ■ Le 2 février un jeune de seize ans est retrouvé mort, pendu au système d’aération de sa cellule, à l’EPM de Meyzieu.
Le môme n’a pas supporté la perspective d’être condamné à un ou deux mois (...)
Après avoir été gazé-e-s par les vigiles privés engagés par Olivier CHRISTIN (président de l’université Lyon 2), les étudiant-e-s ont été attaqué-e-s par la police dans un véritable guet-apen. Cinq arrestations, TAZER, matraque et chiens.
Il est important d’envoyer à Rebellyon (contact[at]rebellyon.info) ou à Témoins (caissedesolidarite[at]gmail.com) tout témoignage vidéo et/ou écrit de la répression et des violences qui ont été commises par la police.
Mise à jour du Mercredi 29 avril, 18h00 : tous les étudiants arrêtés ont été relâchés, trois hier soir, et le deux autres cet après-midi. Ces derniers ont refusé la comparution immédiate et ressortent libres du tribunal, dans l’attente d’un procès.
Après 13 semaines de mobilisation, la présidence de l’université Lyon 2, qui se dit « favorable »
au mouvement contre les réformes LRU, a décidé d’organiser un vote à bulletin secret, avec
carte d’étudiant, pour mettre fi n au blocage voté d’AG en AG par les étudiant-es.
Cela fait partie des affaires jugées aux 24 colonnes ne concernant que des personnes majeures et qui sont surtout liées aux manifs lyonnaises d’octobre 2010.
Mercredi 2 Novembre, dans une ville à 15 km du centre ville de Nice, deux camions sont garés en bord de mer. Leurs cinq habitants (4 hommes, 1 femme) dorment tranquillement, quand sur les coups de 10h15, ils entendent frappés aux portes des véhicules. Ils ont à peine eu le temps d’ouvrir les yeux, que la BAC elle a déjà eu le temps d’ouvrir toutes les portes.
Le 22 février, la police mutilait et blessait gravement des dizaines de manifestant-e-s dans les rues de Nantes. Il s’agit aujourd’hui, 1er avril, de continuer cette guerre dans l’enceinte du Tribunal. De continuer à terroriser ceux qui s’opposent à ce monde et à l’aéroport qui va avec.
Dès le début d’après-midi, la salle de comparution immédiate du Tribunal de Grande Instance de Nantes est bondée.
Des journalistes sont venus se régaler de la répression qu’ils ont complaisamment (...)
<< | 1 | ... | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | ... | 25 | >>
Rebellyon.info n’est pas un collectif de rédaction, c’est un outil qui permet la publication d’articles que vous proposez. La proposition d’article se fait à travers l’interface privée du site. Quelques infos rapides pour comprendre comment être publié !
Si vous rencontrez le moindre problème, n’hésitez pas à nous le faire savoir
via le mail contact [at] rebellyon.info