La ténacité de Sophie Perrin et de celles et ceux qui ont choisi de la soutenir a joué un rôle très important pour l’issue obtenue : après une pétition signée par plus de 1000 personnes, le Parquet (re)lit le dossier, et reconnaît publiquement en audience « ne pas savoir ce qu’il a à reprocher à Sophie Perrin ». C’est la fin de 9 ans de harcèlement judiciaire, qui se terminent par un KO des plaignants, dont un objectif important était par ailleurs de faire disparaître Sophie Perrin du monde de la recherche. Objectif manqué, puisque les travaux de recherche de Sophie Perrin seront, au contraire, très bientôt édités au sein d’une maison d’édition scientifique rencontrée grâce aux soutiens reçus.
