Dans la nuit du 30 au 31 janvier 6 voitures sont incendiées à Cusset (au passage l’école Ernest Renan est endommagée par les flammes).
Le 31 toujours une tentative de contrôle d’identité est empêchée par des habitant/es place Guy Moquet (à Vaux-en-Velin) ; des affrontements entre flics et sauvageon/nes se sont poursuivis chemin du Grand Bas, sans aucune interpellation à la clé.
Mercredi premier février un SDF est interpellé après avoir aligné un contrôleur TCL pour éviter de se faire (...)
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« comparution immédiate »
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- Le mercredi 28 novembre 2007 à 22h40, l’université de Lyon 2 - Bron a été prise d’assaut par les condés. 13 arrestations.
- Jeudi, forte mobilisation devant l’hôtel de police où sont retenues les personnes arrêtées.
- Vendredi : étonnamment, il n’y a pas de comparutions immédiates. Une personne sort sans poursuites le matin, une personne est mise hors de cause mais pourra éventuellement être convoquée ultérieurement comme témoin assisté ; 11 sont mises en examen avec contrôle judiciaire.

L’OPA de l’ex-banquier, Résistons ensemble ; n° 164, juin-juillet 2017
Bulletin numéro 164, juin-juillet 2017, du réseau Résistons Ensemble. Formé en 2002, Résistons Ensemble a pour but d’informer, de briser l’isolement des victimes des violences policières et sécuritaires et de contribuer à leur auto organisation.
Punir les pauvres : une fois enrôlé comme indic, on s’en débarasse en le mettant en taule !
Une comparution immédiate du 27 novembre au tribunal de Lyon.

Huit mois ferme pour une personne qui a reçu une balle de flashball à Vénissieux
Elle est accusée d’avoir lancé une bouteille sur un CRS...
Compte-rendu d’une comparution immédiate du 30 octobre 2006 au Tribunal de Lyon.

« Les manifs, c’est fini, faites autre chose. Mettez-vous dans des associations ». Récit des procès des manifestants contre le pass sanitaire du 2 août
Lors de la troisième manifestation contre le pass sanitaire (31 juillet), plusieurs milliers de personnes ont bravé l’interdiction de manifester et sont descendues dans les rues. Deux cortèges ont défilé, l’un au départ de la place Carnot et le second depuis le parvis René Descartes (autorisé par la préfecture et à l’appel du parti de Philippot, les Patriotes). Comme au début des manifestations gilets jaunes, il y a deux ans et demi, les cortèges étaient composés pour partie de « primo-manifestant.es » très enthousiastes, très énervés et bien décidés à exprimer leur colère, que la manif soit interdite ou non. Des affrontements avec la police ont éclaté à proximité de la place Jean Macé et les forces de l’ordre se sont évertuées à repousser les manifestant.es vers la Guillotière et à les courser pour les disperser. Au total, neuf personnes ont été interpellées (soixante-douze dans toute la France), dont trois jugées en comparutions immédiates le lundi suivant.

Un jour sans fin – 3e audience du procès en appel de Kamel Daoudi
Kamel Daoudi, connu pour être le plus vieil assigné à résidence de France, totalise l’absurde record de près de 14 000 pointages au commissariat, en 13 ans.
En septembre dernier, il avait été condamné en première instance (à Aurillac, son dernier lieu d’assignation) à un an de prison ferme, pour un retard de 25 minutes sur son couvre-feu quotidien. Ce soir-là, il faisait des falafels dans le café associatif d’Aurillac « la Loupiote ». Il avait été ramassé devant le bar, alors même qu’il était sur le départ.

Pas de répit pour les opposants au pass sanitaire : procès & condamnations
Lundi dernier, comme après de nombreuses manifestations, se déroulaient les habituelles comparutions immédiates à l’encontre des personnes arrêtées le samedi précédent. Sauf que la manifestation en question n’avait rien d’habituel puisqu’elle a eu lieu en plein mois de juillet, qu’elle n’était appelée par aucun parti ni syndicat et qu’au niveau national, la mobilisation a réuni plus de cent mille personnes. La manifestation était interdite par le préfet, ce qui n’a pas empêché une foule nombreuse de se retrouver place Jean-Macé face aux camionnettes des gendarmes mobiles. Bloqués et gazés sur le lieu de départ, des manifestant.es ont réussi, tant bien que mal, à déborder le dispositif policier et à défiler. En fin d’après-midi, les lacrymogènes noyaient la place Bellecour tandis que les cordons de police recevaient des projectiles en tout genre. Côté répression, neuf personnes ont été interpellées. Après 40h de garde-à-vue, trois ont été jugés en comparution immédiate et trois autres en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC).

« Quand on envoie des projectiles sur les forces de l’ordre c’est un acte antirépublicain très grave ». Récit des procès de gilets jaunes du 29 avril et du 2 mai
Ce lundi 29 avril, quatre gilets jaunes étaient jugés en comparution immédiates au tribunal de grande instance de Lyon suite à la manif du 27 avril. Dans l’enceinte judicaire lyonnaise, le nouveau délit de dissimulation du visage créé pour condamner encore plus lourdement les manifestants fait un tabac auprès des magistrats : trois prévenus sur quatre ont été interpellé et sont jugés pour ce nouveau délit liberticide. Récit d’une justice au service de la police.

Gardés à vue suite à la manifestation du dimanche 6 mai : 120h de TIG pour certains
Deux jeunes de 22 et 23 ans sont accusés d’avoir jeté des projectiles sur la police et le commissariat de la place Sathonay à Lyon, le soir du dimanche 6 mai, alors que l’un d’eux n’est pas passé sur cette place et que l’autre avait été blessé place Bellecour.

Intervention policière sur le campus de Bron dans la nuit du 28 au 29 novembre

Acharnement judiciaire contre les Gilets Jaunes
Une synthèse des audiences de comparutions immédiates au Tribunal de Lyon après les manifestations du samedi.

Témoignages de contrôles et violences policières par temps de confinement à Lyon et ailleurs
Le confinement, c’est la police qui tient la rue pendant que nous sommes sommés de la déserter. Tout l’arbitraire du pouvoir policier s’y déploie encore plus allègrement que d’habitude : vérification des courses illégale, remarques absurdes sur la légitimité ou non d’un déplacement, racisme exacerbé, passage à tabac et garde-à-vue (sans forcément de déferrement, en guise de punition). Suite à l’appel à témoignages publié il y a un mois, petit passage en revue des anecdotes et témoignages reçus, dans la région lyonnaise mais aussi ailleurs en France.

Inculpé de la manifestation du dimanche 6 mai : il ramasse 6 mois ferme
Un jeune majeur a reconnu avoir jeté quelques cailloux sur les policiers sans les toucher, dimanche soir à Lyon, sur la place Bellecour. Il est condamné à six mois de prison ferme avec mandat de dépôt immédiat !

A Lyon, la police réprime préventivement les rassemblements antifascistes
Ce jeudi 9 mai 2013, des groupuscules néonazis avait une nouvelle fois prévu d’occuper la rue lyonnaise. [---] Des antifascistes ont décidé de réagir et ont organisé un rassemblement. Avant même d’y être arrivés, 25 antifascistes ont été arrêtés et placés en garde à vue.

Récit en photo de la manifestation contre Biovision et des violences policières qui y ont eu lieu
Lundi 9 mars, environ 200 personnes se sont réunies pour protester contre BioVision et son monde (celui de Pécresse également). L’après-midi s’est caractérisée par une violence policière importante. Bilan : 3 arrestations et plusieurs personnes blessées (dont deux à l’hôpital).
Autres articles :
BIOVISION et Valérie Pécresse à Lyon : communiqué de manifestant-e-s et récit de la manifestation mouvementée
A bas la répression !
Rassemblement contre Biovision 2009
Qui vivra par la matraque périra par la kalach’ ! (sur le blog de la Coordination Lycéenne Lyonnaise).
Les trois étudiants arrêtés sont sortis de garde-à-vue après leur présentation devant le tribunal. Ils ont tous refusé la comparution immédiate. Deux d’entre eux sont placés sous contrôle judiciaire jusqu’à leur procès, et doivent pointer au commissariat chaque semaine. Ils sont tous les trois poursuivis pour rébellion et-ou violence aggravée sur agent de la force publique (jet de pierre) ainsi que, pour deux d’entre eux, refus de prélèvement ADN.
Le procès est fixé au 1er avril 2009.

Incendie du local de l’UMP à Villeurbanne : résultat du procès
Le président s’est surtout intéressé à connaître l’éventuelle préparation de cet acte, connaître la personnalité des prévenus : un an de prison, dont huit mois avec sursis, à chacun et le remboursement d’une grosse somme pour le local incendié. Dès le vendredi 15 juin, le parquet a décidé de faire appel ! C’est le jeudi 6 septembre à 13h30 qu’ils devront être rejugés aux 24 colonnes.

« Le traitement en temps réél » de la justice...
...ou comment remplir les prisons de malades mentaux.
A Lyon, en comparutions immédiates, deux mois de prison ferme immédiats, avec mandat de dépôt, et 1200 euros pour une cigarette dans le métro !

Face à la répression, soyons avec les lycéen.nes !
Depuis vendredi dernier, les lycéens se soulèvent. Dans un contexte à la limite de l’insurrection en France, le pouvoir craint explicitement une amplification des colères, et réprime sévèrement les mouvements de jeunesse. La Caisse de Solidarité recueille des témoignages de violences policières graves, en particulier à Doisneau à Vaulx-en-Velin, mais devant les autres lycées également : des lycéens passés à tabac, des tirs de flashball, des interpellations extrêmement brutales.

Les 7 ambitions du gouvernement pour prévenir et punir les manifestations
Le 23 octobre 2018, le sénat proposait 7 mesures pour encadrer encore plus les manifestations. S’emparant de ce projet « clef-en-main » qui lui était servi par la frange la plus réactionnaire de la droite, le gouvernement a su profiter de l’aubaine pour apporter une réponse répressive et liberticide au mouvement des « gilets jaunes ». Voici l’analyse effectuée en novembre, un peu remaniée.
Attention, ceci n’est qu’un projet, et il est appelé à évoluer…

Les 7 ambitions du sénat pour prévenir et punir les manifestations
La proposition de loi « visant à prévenir les violences lors des manifestations et à sanctionner leurs auteurs » a été adoptée par la droite au sénat le 23 octobre 2018 : ce n’est qu’une proposition, elle n’est pas définitive.
Le sénat propose 7 mesures pour encadrer encore plus les manifestations. Une occasion de se pencher sur ce projet réactionnaire.
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