Il ressort de l’ensemble de ce rapport que les politiques publiques guidées par le risque d’appel d’air ont des effets délétères sur l’accès aux droits fondamentaux des exilés. Indépendamment des violences liées aux conditions de vie, de celles liées au caractère peu cohérent des missions confiées aux forces de l’ordre, le fil conducteur des différentes étapes du parcours des migrants est marqué par le primat du contrôle sur le respect des droits fondamentaux
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