La Borie, c’est ce trop beau lieu queer en pleine campagne cévenole, avec sa rivière et son histoire à rallonge de procès, tentatives de récupération capitalismoecolobobo et moult péripéties de collectifs. La Borie est expulsable le 31 mai.
![](local/cache-gd2/0d/1325e72e8c2f4ce772f65b8ab0e54c.png?1720849490)
La Borie, c’est ce trop beau lieu queer en pleine campagne cévenole, avec sa rivière et son histoire à rallonge de procès, tentatives de récupération capitalismoecolobobo et moult péripéties de collectifs. La Borie est expulsable le 31 mai.
L’offensive anti-squat aura finalement réussi à Toulouse, une milice de nervis proto-fascistes a fini par se monter pour déloger les habitant⋅e⋅s. Ce texte revient sur toute cette affaire et notamment sur le rôle de Bassem, personnage de sinistre réputation à Lyon.
Depuis deux jours, La Dépêche, puis RTL, France 3, etc. nous racontent la même histoire à faire pleurer dans les chaumières : Roland, 88 ans, « expulsé de sa maison » de Toulouse par de méchants squatteurs. Sauf que ces médias ne disent pas la vérité : le propriétaire n’y habite pas depuis longtemps et, quand les squatteurs y sont entrés, la maison était délaissée. Si sa maison a été occupée par des squatteurs, c’est bien parce qu’elle était vide depuis des années !
Nous lançons un grand appel a venir occuper, défendre et habiter le quartier, avant et après les expulsions. Pour ne plus laisser place aux grandes entreprises, comme Vestia et tant d’autres, détruire les quartiers populaires. Pour ne plus laisser place a la police servant de chien de garde à Vestia, qui manipule impunément les lois, faisant de la misère leur business.
25 personnes ont été arrêtées, 3 squats ont été expulsés, des personnes ont été frappées par la police (certaines dans l’espace public, d’autres en cellule de garde a vue). Des personnes ont été agressées par des individus inconnus. Une personne va probablement être déportée dans un pays ou sa vie est directement menacée. Ceci est un appel a l’aide !
Appel à occuper le quartier de Tweebos, a Rotterdam, menacé de démolition.
François Rebsamen, maire de Dijon et président de Dijon Métropole a annoncé que la mairie va abandonner l’urbanisation des Lentillères ! Il a annoncé dans le même temps que les occupations illégales seront expulsées.
Dans le parc du Musée de la Mine à Saint-Étienne vivent depuis plusieurs mois 7 familles d’origine roumaine, dont environ 25 enfants. Pour réclamer de l’aide aux pouvoirs publics qui demeurent sourds malgré les températures négatives, elles ont occupé le hall de la Mairie aujourd’hui. La réponse a été tonitruante.
L’article 14 de la loi Engagement et proximité est un « outil d’exclusion massive » selon les auteurs de cette tribune, qui demandent aux députés de retirer cette mesure « anti-pauvres ». Elle permettrait aux maires de faire payer une astreinte de 500 euros par jour aux occupants de caravane, yourte, camion aménagé... De nombreux collectifs et association s’élève contre cette loi inique
Un an après l’effondrement de deux immeubles rue d’Augagne à Marseille, le 5 novembre 2018, retour sur les mécanismes d’abandon des quartiers populaires.
De Noailles à la Plaine, en passant par la Belle-de-Mai et Belsunce, c’est toujours le même plan que la mairie de Marseille et la Soléam imposent : laisser pourrir les quartiers des pauvres pour pouvoir, ensuite, mieux les « valoriser », les « rentabiliser », les gentrifier...
Chambéry : mépris et violence pour la famille, les ami.es, les voisin.es et les personnes solidaires de Lakhdar, mort alors qu’il se faisait expulser
Lakhdar mort entre les mains de la police qui expulsait sa famille. Être en situation « impayé de loyer » mérite-t-il la peine de mort ? Rassemblement ce lundi 8 juillet à 18h devant la mairie de Chambéry, suite au décès de Lakhdar pendant son expulsion !
A partir du 6 juillet, contre la privatisation pseudo-alterno, venez toutes et tous au grand camping écolo-anarcho-féministo à la Borie (St-Jean-du-Gard (30))
Appel urgent à venir soutenir l’occupation de la Bourse du Travail de Saint-Etienne par des personnes sans logement et leurs soutiens, face à l’inaction des pouvoirs publics et suite à des menaces de la Préfecture concernant demain matin, vendredi 12 avril.
Suite à la fin du plan froid et à l’expulsion violente de squats de migrant·es, de nombreuses personnes (dont des personnes malades et des enfants en bas âge) sont aujourd’hui sans aucune solution de relogement. Face à cette situation insupportable, une poignée d’associatifs et de citoyen·nes mobilisé·es ont décidé d’occuper la Bourse du travail de Saint-Étienne ce lundi 1er avril.
L’Asilo est occupé depuis 1995, c’est un lieu d’habitation mais surtout un lieu central d’organisation pour les luttes qui agitent le quartier et même un peu plus loin : contre les expulsions de logement, contre les centres de rétention et pour la liberté de circulation, contre la taule, la construction de la TAV…
Malgré nos nombreuses sollicitations, nous sommes actuellement toujours au gymnase, sans fournitures ni tickets de transport, sans serviettes de toilettes ni repas décents.
Des amis barcelonais nous ont fait parvenir ce texte très intéressant, qui restitue l’expérience des « syndicats de quartier » ou « bases rouges » (plutôt issues de l’héritage de l’autonomie).
Ce matin – jeudi 29 novembre – les habitant.e.s du 13 boulevard Jules Janin (squat dans lequel vivent des personnes exilées) ont subi une agression. Trois hommes, après avoir forcé la porte d’entrée de l’immeuble, ont en effet pénétré dans le bâtiment prétextant des travaux à effectuer sur ordre du propriétaire. Une cinquantaine de personnes sont venues exprimer leur soutien tout en tentant de comprendre et de démêler le déroulé de la matinée... Un article du NuméroZéro
De Noailles à la Plaine, en passant par la Belle-de-Mai et Belsunce, c’est toujours le même plan que la mairie de Marseille et la Soléam imposent : laisser pourrir les quartiers des pauvres pour pouvoir, ensuite, mieux les « valoriser », les « rentabiliser », les gentrifier...
Rebellyon.info n’est pas un collectif de rédaction, c’est un outil qui permet la publication d’articles que vous proposez. La proposition d’article se fait à travers l’interface privée du site. Quelques infos rapides pour comprendre comment être publié !
Si vous rencontrez le moindre problème, n’hésitez pas à nous le faire savoir
via le mail contact [at] rebellyon.info