Dans sa guerre coloniale sans merci infligée aux Palestiniens, l’État d’Israël tue une majorité de civils, dans une proportion et avec une rapidité plus importantes que lors des attaques américaines les plus intenses en Afghanistan, en Syrie ou en Irak, insiste le New York Times [1]. Le 12 décembre, dans les pas de nombreux acteurs parmi lesquels l’historien israélien Raz Segal et plusieurs experts de l’ONU [2], la Fédération internationale pour les droits humains adoptait une résolution « reconnaissant les actions d’Israël contre le peuple palestinien comme étant un « génocide en cours » ».
