André Vallini, président du Conseil général de l’Isère, maître d’ouvrage de Minatec, écrit à Chirac, Villepin et Debré pour proposer la création d’une « instance internationale de contrôle des nanotechnologies ».
Après sept ans de « vigilance », et surtout, après la manifestation du 1er juin 2006 contre l’inauguration de Minatec, les 11 élus ADES, Verts, Alternatifs, de la Ville de Grenoble « demandent un moratoire sur Minatec ».
Il s’agit bien sûr d’une figure banale. Une brochette de politiciens ayant concouru, l’un activement (Vallini), les autres passivement (les écotechs Verts), à un projet désastreux (Minatec), tentent, face à un soudain émoi public, de se faire passer pour des lanceurs d’alerte contre leur propre forfait.
Un texte de PMO Pièces et main d’oeuvre de septembre 2006, à lire en pièce jointe.