« Face aux agressions de tous genres au sein de nos lieux, nos luttes et nos collectifs, nous pensons que la dénonciation publique peut permettre de libérer la parole de personnes qui en sont victimes et dont les voix portent moins que celle de leurs agresseur.euse.s. En revanche, nous ne pouvons la voir que comme une étape et nous refusons catégoriquement que ces dénonciations deviennent le point de départ d’une justice punitive d’abattage utilisant le fichage et le harcèlement. Nous n’acceptons pas de tels agissements dans nos luttes et dans les lieux dans lesquels nous nous organisons. »
