Du 24 au 26 juin, Turin accueillera un week-end de mobilisation internationale contre toutes les guerres et toutes les frontières, dans la ville et partout ailleurs.

Du 24 au 26 juin, Turin accueillera un week-end de mobilisation internationale contre toutes les guerres et toutes les frontières, dans la ville et partout ailleurs.
L’Observatoire des armements publie un nouveau rapport sur l’impact des entreprises d’armement de la Région Auvergne-Rhône-Alpes sur les conflits. Il documente notamment 11 sociétés qui alimentent les guerres et répressions actuelles : Palestine, Yémen, Égypte, République démocratique du Congo... À chacun·e de nous de se mobiliser et à nos décideurs d’agir pour éliminer l’empreinte de la région sur les violations de droits humains.
Cette étude rédigée par Tony Fortin avec Patrice Bouveret est téléchargeable gratuitement ou disponible en version papier
L’armée s’implante sur le territoire rural, où elle achète des fermes pour créer des camps d’entraînement. Une grande marche est organisée le 8 mai 2022 à Saint Jean du Gard (30), contre la militarisation des Cévennes.
Le texte ci-dessous est écrit par des féministes russes souhaitant rester anonymes pour des raisons de sécurité, qui se sont regroupées pour s’opposer à l’invasion de l’Ukraine. Le féminisme a, jusqu’à aujourd’hui, relativement échappé aux vagues de répression du régime russe. Le féminisme est donc, dans la Russie contemporaines, l’un des rares mouvements d’opposition encore florissant.
Tous les mois nous comptons traduire et partager des articles publiés sur indymedia athens.On choisira un article par lutte ou évènement, pour donner une vue générale du moment en Grèce.On en choisira 4-5 par mois, parce qu’on est limité en temps pour faire cela.Si vous souhaitez participer contactez nous au mail : trad_gr_fr@riseup.net
L’UE a investi des milliards dans des entreprises d’armement israéliennes afin de militariser davantage son agence frontalière Frontex. Il est essentiel de construire un mouvement antimilitariste mondial.
Depuis la fin de l’année 2020, l’intégralité des prisons de la région pénitentiaire de Lyon sont équipées de lanceurs de balles de défense (LBD). Une décision qui fait grincer des dents jusqu’au sein de l’administration pénitentiaire. D’une plus-value contestable au regard des armes déjà disponibles, ce déploiement illustre surtout la priorité donnée à une approche ultra-sécuritaire. Et vient souligner en creux l’absence de moyens mis sur l’humain et le dialogue.
Ce mercredi 21 avril, une vingtaine de généraux à la retraite, certains radiés de l’armée, ont rendu public sur le site du torchon d’extrême droite Valeurs actuelles un appel au « retour de l’honneur » qui n’est rien d’autre que la menace d’un putsch fasciste. Face à cette manœuvre de l’extrême droite, il n’y a pour l’UCL pas de meilleur rempart que de défendre les libertés et mener la lutte des classes.
Article paru sur bureburebure.info qui retrace pourquoi une société nucléaire est forcément associée à un État autoritaire.
Analyse qui pense le langage belliciste qui entoure l’épidémie en cours en identifiant le nœud médical et politique de la crise actuelle, de la guerre sociale non déclarée et ses désignations multiples d’ennemis intérieurs.
Les arbitrages budgétaires entre santé et défense comme les modes de comptabilité des personnes touchées par le Covid-19 sont biaisés : les femmes sont plus touchées tant au travail que par la maladie.
La résilience proposée par le président Macron est celle des armées, pas la nôtre. Elle entend préparer la sécurité spatiale de la France, et non la nôtre. Elle renforce l’enrichissement des marchands d’armes, de télécommunications, de médicaments... pas nous. Ne nous y trompons pas !
En cette période de confinement, il convient de prendre le temps d’argumenter en faveur d’un abandon immédiat du Service National Universel (SNU). En effet, alors que des murmures annoncent un décalage du « stage de cohésion » SNU (phase 1) aux vacances de la Toussaint du fait de la crise sanitaire, nous demandons l’abandon ferme et définitif de ce dispositif coercitif et (ré)éducatif pour de nombreuses raisons.
Depuis des années, Orange cherche à commercialiser la mine d’or que sont nos données de géolocalisation (la liste des antennes-relais auxquelles nos téléphones se connectent au fil la journée). La pandémie semble être pour l’entreprise une bonne occasion d’ouvrir son marché.
Face à la montée en puissance d’un sentiment anti-impérialiste et anti-français au Sahel - où sont présents près de 4500 soldats pour protéger les intérêts économiques de la fRance -, Macron a avancé la date du G5 Sahel, et convoque les dictateurs du Sahel (Burkina Faso, Niger, Mali, Tchad, Mauritanie) au Château de Pau, le lundi 13 janvier 2020, afin de leur rappeler qu’on ne déconne pas avec la fRance et sa présence militaire.
Un rapport publié le 7 novembre par l’Observatoire des armements et SumOfUs, en collaboration avec les Amis de la Terre, retrace la militarisation des activités de Total au Yémen depuis les années 1980. Des sources ouvertes et témoignages recueillis font état de la configuration de Balhaf, le site de liquéfaction gazière opéré par Total, comme base militaire (depuis 2009) et prison secrète (en 2017 et 2018). Le rapport interroge aussi le rôle du gouvernement français, acteur de la militarisation du site, et a garanti le projet gazier de la multinationale.
Co-auteure de l’ouvrage Burning country : au cœur de la révolution syrienne [1], Leila al-Shami livre une analyse tranchée et équilibrée sur les enjeux et les non-dits de la situation au nord-est de la Syrie après l’offensive de l’armée turque et de ses milices. Nous la traduisons pour CQFD avec son accord.
Depuis l’origine, l’embrigadement nationaliste et patriotique dès le plus jeune âge est une préoccupation essentielle de tous les États. Hier c’était les « bataillons scolaires » ou les « Chantiers de la Jeunesse », aujourd’hui le SNU prend la relève.
A l’approche de la rentrée, nous revenons sur le glorieux « projet de société » qu’est le Service national Universel (ou SNU) pour faire un bilan de son expérimentation lors du mois de juin et évoquer son avenir.
Zineb est décédée des suites de la blessure occasionnée le 1er décembre 2018 par une grenade lacrymogène qu’elle a reçu dans le visage à la fenêtre de son appartement marseillais. Elle est une victime emblématique des violences policières à l’œuvre depuis l’automne 2018 dans le cadre de la répression des manifestations marseillaises contre le mal logement et du mouvement des Gilets Jaunes.
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