Ceci est un billet d’humeur noire, créé par une colère noire, dans un monde trop sombre pour être encore supporté.
Avec le concours des auteurs de BD du festival d’Angoulème !
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Ceci est un billet d’humeur noire, créé par une colère noire, dans un monde trop sombre pour être encore supporté.
Avec le concours des auteurs de BD du festival d’Angoulème !
Suivant Macron, Blanquer et Darmanin, Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, souhaite enquêter sur l’idéologie islamo-gauchiste qui gangrènerait les facs françaises. « Non ! » lui répondent les universitaires qui dénoncent une chasse aux sorcières et une notion (d’extrême droite) qui ne serait pas scientifique. Mais ne serait-il pas temps de changer de régime argumentatif ?
La semaine dernière, encore, un minable a décidé que sa colère trouverait comme seule issue la mort. Endoctriné dans un système idéologique mortifère, un pion frappe et c’est le grand cirque médiatique qui démarre. Le scénario se répète. Une portion non négligeable de la population française s’est transformée en poulets sans tête qui courent en vociférant des saillies réactionnaires pendant que les autres, hagards, attendent que l’orage passe.
Un nouveau local à ouvert dans les monts du lyonnais, à Larajasse. Un énième local fasciste dans la région lyonnaise, qui malgré l’agitation des élus locaux n’aura pas empêché la soirée d’inauguration qui a eu lieu le 29 février 2020.
Quelques mois après l’attaque terroriste d’extrême-droite en Nouvelle-Zélande, petit retour sur l’influence des « penseurs » français. Texte initialement publié le 6 avril 2019.
On a lu le bouquin de Juan Branco qui fait tant parler. C’est avec un vocabulaire d’extrême droite, une rhétorique du sous-entendu et des concepts bien foireux (l’oligarchie et ses « êtres ») que Crépuscule prétend nous dévoiler la marche du monde. Sauf qu’on y découvre pas grand-chose à part les obsessions de son auteur.
Il y a quelques jours encore était prévu le passage sur Lyon de Juan Branco pour plusieurs rencontres, à l’invitation notamment du collectif Le Vent se lève de Science-Po Lyon et des Amis du Monde Diplomatique. Cette série de rencontres, annulées depuis, s’inscrivaient dans le contexte d’exposition médiatique de Juan Branco et du succès en librairie de son dernier ouvrage, Crépuscule.
Il nous parait important, au vu du succès que connait cet auteur, y compris chez nos camarades, d’éclairer un peu ce personnage et ce qu’il concentre, selon nous, de la confusion politique du moment.
Après deux ans de lutte antifasciste contre le bastion social à Lyon, le gouvernement a annoncé la dissolution de ce groupe. Nous avons du mal à nous réjouir de cette décision car nous savons qu’elle ne signifie pas la fin d’une idéologie. Le combat continue !
Retour de la CGA Lyon sur les nouvelles dissolutions de groupuscules d’extrême-droite et la pseudo lutte du gouvernement contre l’antisémitisme.
Texte de colère qui rappelle que la présence de l’extrême droite dans les manifs des Gilets Jaunes n’est ni acceptable, ni défendable et que le « Toutes et tous ensemble » n’est en aucun cas un argument.
A diffuser largement lors des débats parfois houleux sur cette question.
Pour éclairer ce qui se passe en France, il est précieux de regarder ce qui se passe ailleurs. Après une première analyse du mouvement des gilets jaunes, le collectif Athéné Nyctalope s’est penché sur la situation italienne. Des revendications et de la structuration du mouvement aux positions des camarades vis-à-vis de celui-ci, revue des divergences et convergences entre Mouvement 5 étoiles et Gilets jaunes.
Le mouvement des gilets jaunes a toutes les caractéristiques objectives d’un mouvement de droite conservatrice. Pourtant, des camarades décident de le soutenir sans réserves et de contribuer au populisme ambiant. Premiers éléments d’analyse d’un choix dangereux.
Du 4 au 14 septembre 2018 se déroule le procès des assassins de Clément Méric à Paris, nos camarades de Paris nous ont demandé notre retour sur les 5 dernières années de la lutte antifasciste que nous avons mené sur Lyon.
Quand un journaliste d’Arte part interroger les jeunes identitaires d’Allemagne, d’Autriche et de France, soucieux de « comprendre les motivations de ces identitaires » - et qu’on n’y comprend rien et pire encore.
« Le GUD a ouvert un squat ! ». La photo détonne dans le Progrès du 28 mai : Steven Bissuel, bras croisés, exhibe son nouveau T-Shirt devant le squat fraîchement ouvert. Le tout brandé sous le sigle Bastion social, opération marketing aussi rodée que pour un pop up store des pentes. Il se lance dans le social pour sauver ses compatriotes de la misère. Voilà un comique qui colle à son époque. Il y a eu Coluche et les restos du cœur. A Lyon, on aura le squat version centre de tri, le GUD et sa soupe xénophobe en pleine page dans les journaux.
Un portrait du fascisme montant depuis la capitale de la Saxe, en ex-RDA, où les mouvements néo-nazis ont le vent en poupe... Ou comment le macronisme européen laisse le champ libre à la nostalgie brune en temps de « crise des réfugiés ».
Des bribes de réflexions, couchées à la va vite devant le début d’incendie qui couve sous la multiplication des revendications de Vérité et de Justice, un appel au milieu d’un hiver écrasé sous le poids conjugué des fausses promesses électorales et d’un fascisme chaque jour plus menaçant.
Dès les premiers appels à venir manifester contre la tenue du congrès du Front National à Lyon le 29 novembre, la préfecture du Rhône s’est fendue d’un curieux communiqué dans lequel elle indiquait qu’elle prévoirait un « dispositif policier adapté », permettant notamment de séparer les deux camps.
Tract pour la manif du 29 novembre à Lyon contre le congrès du Front National.
Les théories complotistes explosent ces dernières années. Le site ConspiracyWatch.info est une source importante de veille et d’analyse sur le sujet. Quelques jours avant la conférence de Soral (particulièrement actif dans la diffusion des thèses conspirationnsites sur le net) et de Gilad Atzmon à Lyon, on a posé quelques questions à l’animateur du site, Rudy Reischtadt pour éclairer nos lanternes.
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