L’espace-temps révolutionnaire existe grâce au nouage des désirs communs, des amitiés. Notre force va grandissant, et se renforce à mesure qu’elle destitue l’état. Abattons l’état qui est en nous, créons nous.
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L’espace-temps révolutionnaire existe grâce au nouage des désirs communs, des amitiés. Notre force va grandissant, et se renforce à mesure qu’elle destitue l’état. Abattons l’état qui est en nous, créons nous.
Témoignage d’un lycéen à propos de la manif du jeudi 2 juin à Oullins.
Appel à ne plus venir faire mourir les manifestations sur la place Bellecour et à imaginer d’autres itinéraires pour les cortèges.
Réflexions d’un participant à Nuit Debout pour tenter de clarifier le sens du mouvement.
Alors que la mobilisation contre la loi Travail, l’état d’urgence et les violences policières s’installent partout en France, il nous semblait nécessaire de rappeler ce pour quoi nous luttions dans les mouvements sociaux.
Courte reflexion sur l’impossibilité ou presque d’un certain milieu militant lyonnais à rassembler.
Une réflexion sur ce qu’est la violence et ses usages respectifs dans une période de mouvement social, et qui permet entre autre de sortir de différentes fausses dichotomies nuisant à la diversité des tactiques.
Retour sur la manif du 17 mars et sur l’ambiance du début de mouvement. Sur la création de la figure de l’ennemi intérieur le « toto », certains enjeux et conséquences.
Il y a dix ans, presque jour pour jour, démarrait la mobilisation contre le CPE. Devant l’ampleur que pourrait prendre la mobilisation contre la « loi travail », de nombreux médias et militants s’essaient à d’hypothétiques comparaisons avec cette lutte présentée comme la dernière "victorieuse". Pourtant, malgré les aspects mémorables et réussis de ce mouvement, il faut rappeler qu’il n’a réussi à faire retirer qu’un seul article de la loi dite "pour l’égalité des chances". Le reste, tout aussi critiqué et critiquable, est entré en vigueur. Avant de continuer ce parallèle avec le CPE, on peut déjà se demander si une lutte même présentée comme victorieuse l’est réellement pour tout le monde. L’est-elle seulement à travers le prisme de sa classe sociale ? Il paraît en tout cas important de dépasser les mythes pour ne pas répéter les mêmes erreurs.
Le plan social d’Air France s’inscrit dans la longue lignée des coups portés aux travailleuses et aux travailleurs par un patronat arrogant, sûr de sa force, et soutenu par l’Etat. Des milliers de licenciements sont prévus, au nom du « maintien de la compétitivité »...
Les maîtres de la Section 22 de la CNTE, fers de lance du syndicalisme résistant au Mexique, sont l’objet de la haine du Gouverneur Gabino Cue. Contre les manifestations, blocages très fréquents et pour cause « d’ordre » celui-ci a décidé d’en finir avec ces oppositions.
D’abord avec la fermeture et éventuelle suppression de l’Institut Estatal d’Education Publique de Oaxaca, l’IEEPO. Ensuite avec un certain nombre d’accusations judiciaires contre les principaux représentants de la Section 22. Enfin par le blocage financier des comptes de la Section à la banque Banamex (compte alimenté par les cotisations des membres).
La situation de crise que connaît la CGT actuellement révèle plusieurs lignes de fractures au sein de l’organisation : fractures idéologiques, éthiques, stratégiques et de conception organisationnelles.
Les révélations successives concernant les dépenses confédérales effectuées autour de Thierry le Paon ont suscité, à juste titre, de très fortes réactions dans les syndicats CGT, au sein des équipes militantes qui mènent au quotidien l’action syndicale dans des conditions difficiles.
L’été de la France paranoïaque traîne en longueur. Dans les journaux télévisés, la trouille dégouline des micro-trottoirs, suinte des voix off, s’étale dans les mines équivoques des présentateurs au chevet d’un pays à feu et à sang. Les faits divers se succèdent, on se sent comme étranglé, étouffé par un corset tissé de meurtres, de braquages sanglants, de vols et d’agressions incompréhensibles. On ne les voit pas encore, ces actes de guerre terrible qui pourtant seraient partout, mais on s’y prépare : quelques excités s’arment, hurlent leur peur dans des réunions de riverains, s’organisent en « voisins vigilants », rivalisent de bêtise et de lâcheté. Une famille rrom entassée à l’intérieur d’un amas de tôles et de bâches en plastique devient l’Ennemi, le Danger ; un voleur soudain mérite de se faire tirer dans le dos pour des bijoux assurés : il paraît que c’est de la « légitime défense ».
Appel de syndicalistes libertaires pour la défense des retraites
Pour la troisième fois dans son mandat, le gouvernement néolibéral grec a recours à la réquisition des travailleurs pour museler les mouvements de protestation d’une société exsangue. Cette troisième réquisition, concernant cette fois-ci les professeurs du secondaire, marque un pas de plus dans le durcissement de l’autoritarisme étatique puisqu’elle a la caractéristique originale d’être « préventive » : il ne s’agit plus de « remettre les grévistes au travail », mais bien de refuser le droit de grève à une partie de la population.
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