Quelques réflexions sur les pratiques de l’occupation et du blocage. Comment celles-ci peuvent-elles être des outils pour combattre le monde Macron ?
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Quelques réflexions sur les pratiques de l’occupation et du blocage. Comment celles-ci peuvent-elles être des outils pour combattre le monde Macron ?
« Rien de réjouissant, au bout du compte, à devoir affronter ceux qui, si les chemins de nos vies respectives avaient été autres, auraient pu faire, qui sait ? de joyeux compagnons de boisson »
Les zones du dehors de l’état d’urgence : zones hors droit. Et zones du dehors offensives ou zone à défendre, les mouvements sociaux et Nuits debout.
Lorsque l’on s’intéresse à la question de l’amour il n’est pas rare qu’on croise la route du philosophe Roland Barthes. Si à la lecture de son essai sur la question, Fragments d’un discours amoureux (1977), certains estiment la vision de l’amour qu’il propose particulièrement pessimiste, le texte qui suit tente au contraire de montrer que perce sous l’amoureux de Barthes une figure libératrice. Il y a, chez lui, dans l’amour une invitation certaine au dépassement, des pistes pour qui cherche à construire avec les autres des rapports plus riches.
L’espace-temps révolutionnaire existe grâce au nouage des désirs communs, des amitiés. Notre force va grandissant, et se renforce à mesure qu’elle destitue l’état. Abattons l’état qui est en nous, créons nous.
Face aux lacunes de nos outils d’organisation à la base et à la défection des assemblées de lutte par les militant.e.s organisé.e.s, nous sommes quelques un.e.s à avoir souhaité nous adresser directement à nos camarades militant.e.s d’organisations révolutionnaires.
Petit pamphlet vénère qui revient sur deux mois de manifestation et de répression. « La France va mieux » ?
Réponse d’un casseur à ces détracteurRICEs.
Il y a cette situation à la fois bizarre et inouie ouverte par le « mouvement contre la loi Travail ». Dans cette séquence, plein de choses se passent ; et plein de choses attendent encore, comme étranglées dans un gros entonoir, de passer au réel...
Avec ce nouveau missile, les capitalistes s’assurent non seulement de tirer vers le bas les conditions matérielles d’existence de tou.te.s mais aussi d’accroître les inégalités entre les salarié.e.s. Les plus précaires sont acculé.e.s à toujours plus de misère dans cette double logique : détruire les acquis de tou.te.s et s’attaquer encore plus durement à celles et ceux qui subissent déjà le plus gravement les horreurs du capitalisme. Cette mise en concurrence des prolétaires augmente d’autant plus la précarisation des femmes.
Critique à chaud de quelques aspects du mouvement en cours contre la loi travail et l’état d’urgence.
Reflexions autour de la malheureuse expérience grecque
Contre le terrorisme, contre l’état d’urgence, contre la guerre, contre le racisme, contre l’impérialisme, contre le capitalisme : étudiant-e-s, travailleurs, nous devons aujourd’hui bien plus qu’hier encore nous réunir, nous organiser pour lutter !
129 morts et 352 de blessé-e-s, dont beaucoup dans un état jugé « critique », voilà le lourd et triste bilan (provisoire) des tueries perpétrées le 13 novembre 2015 à Saint-Denis (93) et à Paris.
Si toutes nos pensées vont aux familles des victimes, notre peine est identique pour les familles des victimes de Beyrouth, d’Ankara, de l’Irak au Sinaï en passant par la Syrie...
Cet article sera mis à jour au fur et à mesure des différentes contributions proposées sur Rebellyon.info
MAJ mercredi 18 Novembre
Heureux comme un patron au Danemark.
À en croire d’étranges classements publiés chaque année, les Danois seraient le peuple le plus heureux au monde. Et la source de ce bonheur national serait un néologisme barbare sonnant comme un incantation magique aux oreilles des socio-libéraux, la flexicurité (ou flexisécurité). L’Union Européenne en a fait dès le Sommet de Lisbonne en 2000 le « levier majeur de sa stratégie », pointant sept ans plus tard la nécessité de « définir des principes communs de flexicurité ». En France, c’est pour aboutir à une « flexicurité à la française » que fut finalisé en 2013 l’Accord National Interprofessionnel (ANI), accord qui marquait pour l’encore présidente du Medef, Laurence Parisot, « L’un événement dans l’histoire économique et sociale de notre pays. Premièrement, parce que cette loi installe enfin la fléxisécurité du marché du travail ». Plus récemment, en visite au Danemark en novembre 2014, le premier ministre, Manuel Valls voyait dans le système social local une « source d’inspiration ». Mais quels sont alors les ressorts de ce modèle présenté comme le nouvel horizon ?
Ou agiter en boucle un drame dégoulinant et faire accepter l’inacceptable.
Obsolescence des choses, obsolescence de l’humain, le recyclage généralisé
« To Change Everything, » voici le nom et l’objectif ambitieux du nouveau projet international lancé, en ce début d’année 2015, par le collectif anarchiste CrimethInc. Traduit, à ce jour, dans pas moins d’une dizaine de langues, ce dernier est désormais disponible en version française.
Du 9 au 12 mars prochain aura lieu le vote en session plénière du parlement européen, d’une potentielle résolution sur l’ISDS (Investor to State Dispute Settlement), soit la « Résolution des Différends entre Investisseurs et États » par des tribunaux spéciaux. Qu’est ce que cela veut dire ?
Ils ont volé 66 millions de personnes tous les jours, tous les mois, pendant des années. Ils ont aussi volé l’État en dissimulant la réalité de leurs comptes à l’administration fiscale. L’État, par le biais de l’Autorité de la Concurrence a décidé qu’il n’ont pas à rembourser un centime à leurs victimes et qu’ils peuvent tranquillement continuer leur braquage.
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