Rencontre avec Jérémy Rubenstein autour de « Terreur et Séduction - Une histoire de la doctrine de la »guerre révolutionnaire« » le 12 novembre 2022 à 15h à la librairie La Gryffe (5 rue Sébastien Gryphe, 69007).

Rencontre avec Jérémy Rubenstein autour de « Terreur et Séduction - Une histoire de la doctrine de la »guerre révolutionnaire« » le 12 novembre 2022 à 15h à la librairie La Gryffe (5 rue Sébastien Gryphe, 69007).
Les Causeries des Clameurs s’invitent à la librairie La Gryffe ! Le 15 novembre, dès 19 heures, venez rencontrer Mathieu Rigouste, chercheur indépendant en sciences sociales, réalisateur, militant. Il est notamment l’auteur de La police du futur (10/18, 2022), La domination policière (La Fabrique, édition augmentée en 2021), Un seul héros le peuple (PMN Éditions, 2020), L’Ennemi intérieur (La Découverte, 2009).
Lors de l’audience vendredi dernier, la justice a reproché les lacunes de l’enquête… à la victime. La procureure adjointe Karine Malara n’a pas lu le PV où Naïm se plaignait de violences policières. Récit d’une audience hallucinante.
Récit du procès ordinaire d’un jeune extraordinaire
Naïm face à la police, volet 2. Il a été agressé par la police en janvier 2020 à Vaulx-en-Velin. Mais c’est lui qui comparaît devant la justice. Sa plainte a été enterrée par le parquet. Flagrant déni décortique le fonctionnement d’une banale justice à deux vitesses.
Naïm est l’un des initiateurs de PoliCité, un projet qui promeut la « confiance » des jeunes envers la police. Mais la police, elle, a choisi la confrontation. Volet 1 : témoignage sur l’agression et le racisme systémique.
Nous appelons à un rassemblement de soutien demain matin (13 octobre) vers 10h. Nous préciserons demain matin le lieu
Même pour l’IGPN et le procureur, les deux agents de la BAC ont commis des violences « incompréhensibles ». Pourtant au procès, les policiers ont affirmé avoir agi en toute légalité. L’institution policière semble d’accord : ils sont désormais formateurs en techniques d’intervention.
Depuis plus d’un an, les questions sécuritaires se suivent et se ressemblent à Lyon. Cette dernière semaine de septembre, l’annonce sécuritaire c’est l’installation de 30 nouvelles caméras
Le 11 avril 2018, vers 21h, cinq amis se retrouvent au bar Rock n’ Eat, dans le Vieux Lyon pour une soirée avec des groupes de métal. Au cours de la soirée, ils constatent la présence de plusieurs militants d’extrême droite, appartenant au « Bastion social », groupe éphémère (dissous depuis) qui avait pris la relève du « Groupe Union Défense » (GUD), bien connu pour sa haine des gauchistes, son idéologie allant du nationalisme au néo-nazisme revendiqué et son goût pour le cassage de crânes.
Depuis le début de l’année au moins 7 personnes sont mortes sous le feu de la police, dans leurs véhicules au motif de « refus d’obtempérer ». Le dernier drame a eu lieu à Vénissieux.
Le quartier connait une occupation policière de plus en plus intense. Bien sûr toute personne étant identifiée comme arabe, noire ou étrangère est contrôlée, humiliée et violentée par la police de manière systématique. Les formes de solidarité et d’organisation populaires comme le marché sauvage de la place du Pont sont interdites et réprimées. La précarité s’accentue lorsque l’Etat nation bloque tous les modes d’existence alternatifs. Dans un tel contexte, aucune vie paisible n’est possible.C’est pour ces raisons que nous refusons d’accepter que notre quartier dans lequel nous et des milliers de personnes vivons, soit soumis à une occupation systématique qui produit sur nos vies quotidiennes une violence sociale inacceptable. C’est la misère, le racisme et la gestion policière qui détruit nos vies. Le reste n’est que la conséquence évidente d’une telle situation.
Festival de « sources proches du dossier », et commentaires sur les commentaires du ministre : la parole policière est la seule à s’exprimer. Faute de travail journalistique sur les faits, les causes du débordement de l’interpellation restent dans l’ombre.
Rencontre et discussion avec Kamel Daoudi, assigné à résidence depuis 14 ans, à l’occasion de la sortie de son livre « Je suis libre... dans le périmètre qu’on m’assigne ».
Vendredi 10 juin à 19h, quelques membres du collectif d’autrices des Aggloméré·e·s seront au Café Rosa, pour présenter le bouquin, échanger sur les thématiques que le roman explore et l’aventure qu’a représenté sa fabrication.
Le mercredi 18 mai 2022 à Bron, une personne se fait interpeller par la police : elle n’y survivra pas, victime de détresse respiratoire ( comme tant d’autre).
Le Conseil d’état vient de suspendre la dissolution du groupe antifasciste Lyon et environs suite aux recours intentés par nos avocat.e.s.
Dans le cadre de nos permanence des vendredis, nous allons aborder la question de la répression dans nos espaces festifs. Nous accueillerons le référent de la région Auvergne Rhône Alpes du FSJS (Fond de soutien juridique des sons).
Cette permanence s’adresse aux sounds systems, teufeur.euse.s et usager.ère.s de la fête libre.
Quelle soit dans un champs, dans squat ou sous un pont, informons-nous sur des stratégies de luttes collectives.
Nous discuterons de nos droits, de solidarité face aux répressions que chacun.e.s vivent dans nos espaces festifs.
Make free party great again !
Le 11 mai prochain, le juge des référés doit examiner le cas du Groupe antifasciste Lyon et environs (Gale), dissous le 30 mars en Conseil des ministres. Une centaine de personnalités, universitaires, artistes, avocats, député et sénateur apportent leur soutien au collectif dans une tribune pour dire : « que le recours intenté devant le conseil d’État aboutisse ou non, nous affirmons que les idées et les pratiques de l’antifascisme continueront d’exister et d’infuser dans la société, dans les esprits, dans la rue. Ces luttes sont légitimes et nécessaires. »
Le jeudi 17 mars, deux membres présumés de la GALE se sont vus notifier un courrier du Ministre de l’Intérieur annonçant le déclenchement d’une procédure de dissolution. Signez massivement la pétition pour dénoncer cette procédure liberticide !
<< | 1 | ... | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | ... | 15 | >>
Rebellyon.info n’est pas un collectif de rédaction, c’est un outil qui permet la publication d’articles que vous proposez. La proposition d’article se fait à travers l’interface privée du site. Quelques infos rapides pour comprendre comment être publié !
Si vous rencontrez le moindre problème, n’hésitez pas à nous le faire savoir
via le mail contact [at] rebellyon.info