"Olivier Forray, avocat de Sophie Perrin, explique qu’il est facile de mettre Sophie sur la touche. Qu’à l’université, à Lyon 2, certes on est tous potes, certes on fait copain-copain, mais qu’il y a la « sélection naturelle » (…).
Et la sélection naturelle, c’est la concurrence, pour les places en doctorat, pour les allocations de thèse. Ca fait pas de cadeaux.
Sa plaidoirie devient alors une dénonciation en règle de la sélection en question, dans le cadre de l’Université. Une plaidoirie qui ne tente pas l’abord mielleux et opportuniste de la Cour, comme l’avait fait l’avocat de l’université par son vocabulaire et ses provocations. Une plaidoirie qui ne cède rien sur le fond de l’affaire."
Rendu du verdict le 25 octobre prochain, pour un procès qualifié par les personnes qui ont pu y assister de...bon procès (au sens ’’procès de qualité’’).