« Peut-être les forces qui menacent la liberté sont-elles trop puissantes pour que l’on puisse leur résister longtemps. C’est encore et toujours notre devoir de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour nous opposer à elles ! »

On pouvait lire en « une » ce titre intrigant : « CPE : les facs lyonnaises hésitantes ». Mais qu’est-ce qui n’allait pas dans les facs lyonnaises ? En un cours article, surmonté d’une photo et accompagné de deux encadrés (l’un sur les lycéens et l’autre sur les « perturbations » annoncées dans les transports), le bon docteur Lyonplus, allait nous éclairer.

Une critique de la stratégie de la gauche et du mouvement social sur le CPE et un appel à aller plus loin dans la critique du « travail », ainsi que des pistes pour dépasser la notion de travail telle qu’elle est prônée par la droite.

Bilan et perspectives.

Ce colloque réunira des chercheurs travaillant sur les stratégies d’action non-violente, des acteurs de terrain pratiquant la désobéissance civile, des militants associatifs, des citoyens, des élus désireux d’approfondir le lien entre démocratie représentative et légitimité de tels modes d’action.

Où est passé ce syndicalisme révolutionnaire ? Où sont passées les occupations d’usines et autres grèves générales ? Il nécessaire de faire émerger la nouvelle force qui est celle des réseaux alternatifs et des syndicats révolutionnaires.

La racaille est difficile à digérer. C’est vrai qu’à force d’en fréquenter, notre ministre de l’intérieur se prend à rêver de grandeur, s’imagine déjà, chef d’État.

Une chose est sûre : aucune des organisations bureaucratiques n’ira par elle-même au-delà d’une journée d’action, et elles ont peur d’un mouvement d’ampleur auto-organisé de toute la population.
Plus qu’un simple mouvement revendicatif, qui n’est qu’illusion face à un État casqué et botté, c’est une grève politique à caractère insurrectionnel qu’il faut construire.

Obtenir un droit au séjour ne veut pas forcément dire obtenir des droits...

Le CPE : une entrée privilégiée dans le monde du travail. Le nouveau modèle social est un club privé. C’est un privilège d’avoir un travail merdique, parce que l’assistanat, la solidarité, les dépenses sociales abusives, qui ne servent pas le patronat, pèsent sur l’enjeu économique de la France. Et le premier ministre et le gouvernement entendent bien« mener une action durable et approfondie pour concilier la nécessaire sécurisation des salariés avec la recherche de la compétitivité et le renforcement de notre économie. » Ca, c’est de la lutte contre la précarité !

Une analyse du Contrat Première Embauche par la CNT.

La population du Val de Susa a créé « un espace ». Elle s’est levée contre ce projet comme beaucoup de peuples se lèvent dans le monde entier. C’est une touche d’espoir.

Sarko, petit ministre au sourire si faux,
Suivi des CRS qu’il place au plus haut,
Pour sa démagogie et sa petite taille
Parcourait la banlieue le soir d’une bataille.

Le dadaïsme, c’est d’abord çà : « détruisons Toutes les oeuvres dada dont on se permet d’estimer un prix ! »

Des travailleurs sociaux de la région Rhône-Alpes dénoncent la situation actuelle, ont besoin de vous et lancent des appels à toutes et à tous. (Lire la suite...)

Il y avait longtemps que le marché électoral n’avait pas eu de nouveaux consommateurs.

Constat qui promet pour la nouvelle année d’une formatice-accompagnatrice en insertion professionnelle.

Voici donc la fameuse affiche de Sarkozy qui fait tant parler d’elle !

Depuis plusieurs années, on peut douloureusement constater que les conflits sociaux, pour aussi durs et longs qu’ils soient, aboutissent de moins en moins à la satisfaction des revendications

Toutes ces bonnes choses que Sarkozy dit pour me rassurer...